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Différences entre Ausilium Mousse et Ausilium pH4

Un petit article très bref pour répondre à une question fréquente 😉
En effet Ausilium pH4 et Ausilium Mousse sont deux soins de toilette intime formulés et pensés spécifiquement pour toutes les situations de troubles uro-gynécologiques (bactériens, fongiques ou inflammatoires) qui peuvent être utilisés au quotidien et sur des période prolongées.
Leurs formulations ont comme points communs :

  • pH adapté au muqueuses
  • absence d’irritants, substances agressives ou inflammatoires
  • propriétés apaisantes et émollientes
  • composition adaptée à un usage répété, tout en préservant et soutenant l’hydratation naturelle des muqueuses et l’équilibre de la flore vulvo-vaginal
  • usage externe uniquement et avec un rinçage abondant

Bien que parfaitement interchangeables, les indications d’usage de ces soins seraient les suivantes :

  • en phase de maintien, prévention, consolidation : Ausilium pH4 car sa formule est simple, compatible avec un usage répété et prolongé et garantie une haute tolérance
  • en phase aigue – infection (bactérienne comme fongique), inflammation, douleurs ou inconforts fréquents (brulure, picotement, démangeaison), atrophie, sécheresse importante et/ou neuropathie pelvienne : Ausilium Mousse dont la formulation se rapproche de celle d’un dispositif médical puisqu’il associe des ingrédients et principes actifs qui le distingue de l’habituel soin de toilette intime (voir tableau ci-après)

6 Comments

  • Wauters MP
    6 août 2024

    Bonjour
    Je fais des cystites à répétition (soit à E coli, proteus, klebsella). Mon urologue et mon gyneco m’ont prescrits du monuril à prendre une fois par semaine pour essayer d’espacer ces infections. Malheureusement l’ECBU montre parfois que dois prendre de l’augmentin ou du ciproxine . Je fais certainement 2cystites par mois. Les examens urologiques sont OK sauf une descente de vessie à l’effort
    Je souffre d’une ménopause subtrophique avec grande secheresse vaginale , j’ai le colon gauche spastique et rempli de diverticules dont une grosse au sigmoide.
    Mon médecin dit qu’il ne faut pas opérer ma cistocele car ça ne supprimerait pas mes cystites . Le simple fait que le gyne introduit le speculum j’ai une cystite. Je suis decouragee
    Quel produit me conseillez vous. J’ai déjà essayé l’ausilium créma, nac
    Merci
    MP

    Reply
    • Mary
      6 août 2024

      Merci pour ce commentaire MP et bien triste pour vous 🙁
      1) La première chose à dire ici est que la persistance d’IU dans un contexte de ménopause + sécheresse + dystrophie des muqueuses est la définition parfaite du syndrome génito-urinaire : https://cystiteetcompagnie.fr/2022/05/syndrome-genito-urinaire-chez-la-femme-menopausee/

      2) Il est ici également plus que probable que vos troubles soient associés à une raréfaction ou absence de la flore de Döderlein, acteur majeur de la compétence immunitaire uro-génitale : https://cystiteetcompagnie.fr/2023/01/sos-flore-de-doderlein-absente/

      3) La cystoscèle, très modérée puisque présente uniquement à l’effort, est en effet un problème mineur dans ce tableau et, en tous les cas, sans doute pas une cause primaire.

      La somme de ces trois premières remarques permet donc d’envisager les infections urinaires récidivantes comme une conséquence des modifications liées à la ménopause. Leur prise en charge nécessite donc, pour être efficace, une maitrise préalable de : sécheresse, dysbiose, atrophie et inflammation.
      4) La nature chronique et bactérienne des épisodes aigus de cystite fait également fortement suspecter la présence de biofilms pathogènes intra-vésicaux : https://cystiteetcompagnie.fr/2018/03/cystite-infection-urinaire-recidivantes-biofilm-explication/

      5) La multiplication des thérapies antibiotiques répétitives que vous « subissez » (je pèse mes mots) est donc une approche, malheureusement commune mais qui, comme vous l’avez compris, n’est pas résolutive. Elle comporte même des retombées négatives qui, au final, se retournent contre vous en amplifiant et alimentant les mécanismes à l’origine des cystites :
      -> inefficace contre les biofilms
      -> augmentation de l’inflammation des muqueuses
      -> aggravation de la dysbiose
      -> ultérieure réduction des défenses immunitaires
      -> émergence de bactéries multi résistantes (qui constituent un danger sérieux pour votre santé future)

      Dans une situation comme la vôtre, il est donc fondamental d’agir conjointement sur le plan vésical comme vulvo-vaginal et, si possible, travailler de concert avec votre médecin pour insérer une démarche naturelle alternative à l’approche allopathique très lourde jusqu’à présent proposée.
      A ce titre, c’est vers un schéma posologique complet que je vous orienterais en couplant une approche adaptée au SGU et à la présence de biofilms pathogènes avec : Ausilium NAC, Ausilium Forte, Ausilium Crema, Xerem, Ausilium Lavanda, Cistiquer, Ausilium Flora et Venus.
      Le plus simple serait de contacter le bureau : infofrance@deakos.com pour obtenir un conseil posologique « sur mesure »

      De tout cœur avec vous ❤

      Reply
  • Sarah
    29 novembre 2023

    Bonjour,

    je fais des cystites à répétition en post-coïtale pour la majorité du temps. Dans cette situation quel gamme conseillez-vous?
    J’ai pu lire différents de vos articles.
    Conseillez-vous un nettoyage intime avant et après un rapport sexuel? Si c’est le cas, lequel de ces deux produits est le plus adéquats?

    En vous remerciant.

    Sarah 🙂

    Reply
    • Coco
      30 novembre 2023

      Bonjour Sarah et merci de votre message 🙂
      En effet, il serait préférable d’utiliser un soin de toilette intime. Ici je conseillerais Ausilium Mousse, pour sa douceur et son efficacité puisqu’il est formulé spécifiquement pour des situations de vaginoses, vaginites, cystites, mycoses, neuropathies, vulvodynies…
      L’idéal serait d’effectuer cette toilette intime avant les rapports (pour le deux partenaires ! ), en se lavant les mains après.
      A ce propos, je me permets de vous renvoyer au suivant article, qui traite de la toilette intime : https://cystiteetcompagnie.fr/la-toilette-intime/.

      Toutefois, en cas de cystites post-coïtales récidivantes, la seule toilette intime avec un soin de toilette approprié ne constitue qu’une petite part des mesures préventives indirectes et directes à adopter. Ceci parce qu’il est important de comprendre que dans la cystite post-coïtale le rapport n’est que l’arbre qui cache la forêt : il s’agit de la cause déclenchante des épisodes aigus de cystite, mais la cause originaire doit être recherchée dans les facteurs prédisposants.
      A ce propos, je vous conseille de consulter la section dédiée spécifiquement aux « cystites post-coïtales », en commençant par les articles suivants : https://cystiteetcompagnie.fr/mecanismes-de-la-cystite-post-coitale-et-pistes-de-prevention/ et https://cystiteetcompagnie.fr/cystite-post-coitale-peur-lendemain/.

      Si vous en sentez le besoin, après ces lectures, vous pouvez rédiger une liste des facteurs prédisposants qui sont possibles dans votre cas, en excluant les autres. Avec cette liste à la main, vous pouvez discuter avec un professionnel de santé ou avec votre médecin des possibles causes de vos épisodes récurrentes de cystite et de la possible prise en charge.

      Si vous souhaitez recevoir un support plus spécifique et personnalisé, vous pouvez écrire un mail à infofrance@deakos.com.

      Reply
  • Mary
    25 juin 2021

    Merci pour ce commentaire et cette question
    Bien que nous ne trouvions rien dans la bibliographie scientifique pouvant indiquer une corrélation certaine entre allergie -> augmentation du taux d’histamine -> augmentation du niveau d’inflammation -> réduction de l’immunité -> « terrain propice » aux infections opportunistes (IU dans votre cas); notre expérience et les retours de notre clientèle nous poussent également à supposer un lien.
    Dans un cas comme celui-ci, il est important de souligner que les thérapies anti-histaminiques de routine n’empêche pas la production d’histamine de la part des cellules mais bloquent l’action de l’histamine vis à vis de la réponse immunitaire successive (empêchant la cascade qui conduit à la réaction allergique).
    Il semble donc cohérent, en cas d’allergies, de combattre l’augmentation du taux d’histamine (parfois qualifié comme « histaminose » dans la littérature) au travers des principes actifs qui, eux, sont en mesure de limiter la synthèse d’histamine et/ou augmenter l’élimination de son excès. On citera par exemple:
    – Quercétine
    https://cystiteetcompagnie.fr/index.php/2020/03/23/endometriose-et-quercetine/
    – PEA
    https://cystiteetcompagnie.fr/index.php/2021/06/11/palmitoiletanodamide-pea-pour-les-amis/
    – huile de cassis

    Reply
  • Nimou
    25 juin 2021

    Effectivement j’ai tous les ans une cystite au printemps… je suis allergique au pollen et je pense que mon allergie sûrement baisse le système immunitaire ou la prise d’anti histaminique doit provoquer une cystite. Que pensez vous de cela? Quelles seraient les mesures à mettre en place ?

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