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Comment choisir entre Ausilium Mousse et Ausilium pH4 ?

Un petit article très bref pour répondre à une question fréquente 😉

En effet, Ausilium pH4 et Ausilium Mousse sont deux soins de toilette intime formulés et pensés spécifiquement pour toutes les situations de troubles uro-gynécologiques (bactériens, fongiques ou inflammatoires) qui peuvent être utilisés au quotidien et sur des période prolongées.

Leurs formulations ont comme points communs :
– pH adapté au muqueuses
– absence d’irritants ou substances agressives / inflammatoires
– propriétés apaisantes et émolliente
– composition adaptée à un usage répété tout en préservant et soutenant l’hydratation naturelle des muqueuses et l’équilibre de la flore vulvo-vaginale
– usage externe uniquement et avec un rinçage abondant

Bien que parfaitement interchangeables, les indications d’usage de ces soins seraient les suivantes:

  • En phase de maintien, prévention, consolidation : Ausilium pH4 car sa formule est simple, compatible avec un usage répété et prolongé et garantie une haite tolérance.
  • En phase aigue = infection (bactérienne comme fongique), inflammation, douleurs ou inconforts fréquents (brulure, picotement, démangeaison….), atrophie, sécheresse importante et/ou neuropathie pelvienne : Ausilium Mousse dont la formulation se rapproche de celle d’un dispositif médical puisqu’il associe des ingrédients et principes actifs qui le distingue de l’habituel soin de toilette intime (voir tableau ci-après).

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2 réponses

  1. Mary dit :

    Merci pour ce commentaire et cette question
    Bien que nous ne trouvions rien dans la bibliographie scientifique pouvant indiquer une corrélation certaine entre allergie -> augmentation du taux d’histamine -> augmentation du niveau d’inflammation -> réduction de l’immunité -> « terrain propice » aux infections opportunistes (IU dans votre cas); notre expérience et les retours de notre clientèle nous poussent également à supposer un lien.
    Dans un cas comme celui-ci, il est important de souligner que les thérapies anti-histaminiques de routine n’empêche pas la production d’histamine de la part des cellules mais bloquent l’action de l’histamine vis à vis de la réponse immunitaire successive (empêchant la cascade qui conduit à la réaction allergique).
    Il semble donc cohérent, en cas d’allergies, de combattre l’augmentation du taux d’histamine (parfois qualifié comme « histaminose » dans la littérature) au travers des principes actifs qui, eux, sont en mesure de limiter la synthèse d’histamine et/ou augmenter l’élimination de son excès. On citera par exemple:
    – Quercétine
    https://cystiteetcompagnie.fr/index.php/2020/03/23/endometriose-et-quercetine/
    – PEA
    https://cystiteetcompagnie.fr/index.php/2021/06/11/palmitoiletanodamide-pea-pour-les-amis/
    – huile de cassis

  2. Nimou dit :

    Effectivement j’ai tous les ans une cystite au printemps… je suis allergique au pollen et je pense que mon allergie sûrement baisse le système immunitaire ou la prise d’anti histaminique doit provoquer une cystite. Que pensez vous de cela? Quelles seraient les mesures à mettre en place ?

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