Message Icon
Adresse E-Mail
Infofrance@deakos.com
Phone Icon
Numéro de téléphone
+39 0187 575150

D-Mannose : les bonnes pratiques pour réussir à éradiquer la cystite !

Salut la compagnie !
Oui c’est vrai le D-Mannose m’a littéralement sauvée de la cystite [et compagnie]. Oui, c’est vrai je crie sur tous les toits que ça fonctionne hyper bien et que c’est « la » solution. Oui, c’est vrai, il a été mis à toutes les sauces dans les produits Deakos (un coup à dissoudre, un coup à faire fondre sous la langue, un coup à déguster dans la tisane, un coup en application locale dans la crème et la douche vaginale…).
Oui … mais, le D-Mannose ce n’est pas une baguette magique ! On ne le dira jamais assez, pour que ça fonctionne il y a quand même quelques p’tits efforts à fournir, comme par exemple ne pas mettre toutes les autres mesures préventives au placard. Et puis c’est aussi important de BIEN le prendre. Du coup, voici un petit topo sur la question.

Préambule
Cette introduction fait référence au sujet sain, en dehors du contexte de cystites ou trouble vaginal.
Depuis toujours il est admis que les urines (et plus largement l’appareil urinaire constitué de la vessie et de l’urètre) constituent un milieu “stérile”. Cette donnée scientifique, actuellement très discutée et sujette à de nombreux débats dans la communauté scientifique, reste encore valable à ce jour (jusqu’à preuve du contraire).
Toutefois l’appareil urinaire est sans aucun doute en contact avec des germes de façon très régulière ce qui conduit souvent les urines à présenter une numération de germes faible (inférieure à 1.000 ou 10.000 UFC/ml).
La médecine retient qu’une telle numération ne peut être considérée comme une infection urinaire au sens pathologique du terme puisque cette faible concentration bactérienne sera combattue efficacement par nos défenses immunitaires physiologiques (leucocytes et flores).
De même il est supposé que la symptomatologie douloureuse typique de la cystite aigue (lourdeur vésical, douleurs dans le bas ventre, miction douloureuse, fréquence et urgence mictionnelle) est directement corrélée à la numération des germes et n’apparait donc qu’une fois dépassé un certain seuil de concentration bactérienne (variable d’un sujet à l’autre).
Il est donc tout à fait possible d’avoir une présence bactérienne vésicale à la fois supérieure aux seuils fixés pour le diagnostic médical mais inférieur au seuil douloureux et, par conséquent, asymptomatique ou peu symptomatique.

Actions du D-Mannose
Le D-Mannose est un monosaccharide contenu en quantités infimes dans la peau de certaines baies ou fruit mais aussi extrait, selon divers procédés, de l’écorce du bouleau.
Ce principe actif dispose naturellement d’une action inhibitrice sur l’adhésion des germes uropathogènes à la surface de la muqueuse vésicale. Cela signifie qu’une supplémentation en D-Mannose aura pour principal effet une réduction de la concentration des germes dans la vessie.
C’est précisément cet effet bénéfique que nous cherchons à obtenir en cas de cystites récidivantes pour éviter la prise systématique d’antibiotiques et leurs effets secondaires prédisposant aux récidives et à une aggravation de la situation globale de la sphère uro-génitale.
Il est évident que la quantité de D-Mannose doit être adaptée à la numération des germes présents pour “combattre à armes égales”. Toutefois sa pertinence est majeure sur le chronique (maitrise de concentrations bactériennes modérées) plutôt que sur le seul épisode aigu (moment où la numération des germes explose). Pour cette raison la prise de D-Mannose au long cours sous forme prophylactique est à privilégier par rapport à une prise “flash” au moment de l’épisode aigu.
Dans un contexte de cystites récidivantes avec une prise de D-Mannose prolongée le revers de la médaille de l’efficacité de ce principe actif sera donc la disparition de la symptomatologie douloureuse malgré une persistance d’une numération des germes supérieurs au “standards diagnostiques” fixés par les recommandations urologiques en vigueur.
Ce qui signifie que le D-Mannose est bel et bien un principe actif thérapeutique et que son usage, en permettant une diminution de la concentration des germes, conduit effectivement à une éradication de l’infection et des douleurs de la cystite. MAIS que pour obtenir cet effet, la prise de D-mannose ne doit pas être interrompue dès que les symptômes disparaissent et devrait plutôt être prolongée quelques semaines ou mois malgré l’absence de symptomatologies (aigues ou latentes).
Attention donc ; avant de réduire ou stopper la prise, il est recommandé de procéder par étapes :

  • Effectuer un ECBU de contrôle pour écarter toute présence bactérienne résiduelle
  • Si l’ECBU s’avère effectivement négatif, réduire progressivement les prises de D-Mannose en restant attentifs aux signes caractéristiques de la cystite

Modalités de prise du D-Mannose
Pour en potentialiser l’effet il convient de prendre le D-Mannose de telle sorte à lui permettre d’atteindre la vessie le plus rapidement possible et de s’y concentrer le plus possible.
Pour cette raison il est habituellement conseillé (autant que faire se peut) de prendre le D-Mannose :

  • Loin des repas : soit 1h avant ou 2h après toute prise alimentaire
  • Attendre 1h avant de boire, manger ou uriner
  • Uriner 1h après la prise, même en l’absence de stimuli à la miction

Bien entendu l’ensemble de ces préconisations sont à prendre comme des conseils dont la mise en pratique se fait en fonction des possibilités matérielles à disposition. Il faut donc appliquer un “coefficient de flexibilité” de l’ordre de plus ou moins une demi-heure.
Le dernier point de ces recommandations mérite tout de même que l’on s’y arrête et l’explique. En effet ce conseil s’oppose à l’idée selon laquelle plus le D-Mannose reste longtemps dans la vessie, plus il sera efficace !
En réalité les données scientifiques actuellement à disposition indiquent que, pour une dose de D-Mannose de 500mg à 1g, la concentration maximale de ce principe actif dans la vessie sera rejointe au bout d’une heure pour ensuite former un “plateau”.
Dans ces condition il apparait plus pertinent d’uriner 1h après la prise de D-Mannose pour expulser hors de la vessie le complexe D-Mannose / germes uropathogènes et laisser ainsi la possibilité à la vessie de se remplir à nouveau avec un nouvel afflux de D-Mannose “libre” pouvant encore lier des germes.
Pour optimiser les effets bénéfiques du D-Mannose la dernière prise du soir est à faire 1h avant de se coucher (avec une miction avant d’aller dormir) et non pas juste avant de se mettre au lit.

64 Comments

  • Isabelle
    22 avril 2024

    Message :
    Bonjour,
    Je suis un peu dans un impasse et mon médecin aussi. Début mars je fais une infection urinaire. Mon médecin me prescrit un ecbu : escherichia coli 10 000 000 ufc 10.7. Il me prescrit selexide sensible a 4 pendant 6 jours. La douleur passe pendant le traitement et revient trois jours après le traitement. Le médecin après bandelette me prescrit cefixine sensible à 0.5. Idem plus de douleurs pendant le traitement et trois jours après ça revient . Le médecin me reprendrait un ecbu : escherichia coli 1 000 00 ufc 10.6 sensibilité aux antibiotiques exactement idem au premier ECBU. Il me prescrit aloès un troisième antibiotique : ofloxacine sensible à 0.25 pendant 7 jours mais c est toujours pareil . Le médecin semble un peu perdu . Rdv urologue en juillet mais que faire d ici là et que peut être cette infection réfractaire aux antibiotiques pourtant sensibles sur l ecbu…
    Puis je prendre D-manose en meme temps que du cranbery ? Quel serait la reponse la plus adaptée
    merci pour votre réponse
    Isabelle

    Reply
    • Mary
      8 mai 2024

      Merci pour ce commentaire Isabelle et bien ennuyée pour vous.

      Il y a ici un paramètre important que votre message ne précise pas: vos symptômes = cette présence bactérienne est-elle associée désormais à une symptomatologie significative et douloureuse ?

      La présence de bactéries à une numération aussi élevée et de manière persistante malgré les thérapies antibiotiques peut avoir deux origines:
      – des biofilms pathogènes matures : https://cystiteetcompagnie.fr/2018/03/biofilm-scenario-de-guerre/
      – des colonisations en continue des voies urinaires au travers un mécanisme de migration bactérienne (provenance directe de l’intestin en raison de l’existence d’une hyperperméabilité): https://cystiteetcompagnie.fr/2020/03/cystite-bacterienne-dou-viennent-les-germes/

      Ces deux facteurs de risque (qui peuvent exister ensemble) expliquent l’inefficacité (ou plutôt l’efficacité ponctuelle) des thérapies antibiotiques. Lesquelles, par ailleurs, répétées dans le temps, vous exposent à des risque d’effets secondaires : https://cystiteetcompagnie.fr/2018/03/cystite-et-antibioprophylaxie/

      Il est donc judicieux, comme vous le faites, d’investiguer vers des solutions naturelles efficaces.
      A ce propos, la consommation de cranberry est une mesure (malheureusement) encore très populaire mais qui est en réalité plutôt contre-indiquée en cas de cystite -> toutes les explications se trouvant dans cet article : https://cystiteetcompagnie.fr/2018/03/cranberry-faux-ami-de-cystiteuse/

      Concernant le D-mannose, il s’agit en effet d’un principe actif utile et indiqué pour combattre la présence bactérienne vésicale mais qui, dans un cas comme le vôtre, devrait être co-adjuver d’autres principes actifs pour lutter contre les possibles biofilms pathogènes et migrations de germes en provenance de l’intestin.

      Pour répondre à votre question au sujet de la “réponse la plus adaptée”, je conseillerais ici une association de Ausilium NAC + Ausilium 20PLUS + Pealen + Deaflor
      POur un schéma posologique détaillé et de plus amples conseils personnalisés, je me permets également de vous renvoyer vers les experts conseils : infofrance@deakos.com

      De tout coeur avec vous ❤

      Reply
    • ISABELLE
      27 août 2024

      Bonjour
      Je viens de faire une infection urinaire qui a été traitée à l’aide du Monuril
      Je vais prendre du D Manose en prévention.
      Je dois prendre un sachet par jour. A quel moment dois-je le prendre ? Le soir ? En une prise ou en deux prises?
      Merci pour votre retour
      Isabelle

      Reply
      • Mary
        29 août 2024

        Merci pour ce commentaire Isabelle et bravo pour votre décision d’une prise en charge préventive naturelle de la cystite.

        Par contre attention aux confusions et “faux espoirs”: la prise de D-mannose n’est pas une baguette magique qui résoud tout pour tout le monde et du jour au lendemain définitivement !
        Je m’explique: la cystite bactérienne est une problématique complexe, multifactorielle et qui tend à récidiver pour des raisons multiples, différentes d’un sujet à l’autre. Pour cette raison, la prévention naturelle doit avant toute chose être construite de manière individualisée et sur la base de votre cas particulier, vos facteurs de risque personnels, vos antécédents, vos symptômes…

        Il est certain que la supplémentation orale en D-Mannose est une mesure centrale dans cette prévention naturelle mais il n’est pas possible sans vous connaitre, de vous donner des indications précises et personnalisées sur le dosage et les prises de ce principe actif. Une fois, deux fois ou plus dans la journée? ce sont des calibrages qui dépendent de vous et de votre situation spécifique.
        De plus, il est probable que la seule prise de D-Mannose ne soit pas suffisante pour garantir une prévention complète et durable. Sur ce point, je vous invite à lire cet article: https://cystiteetcompagnie.fr/2024/01/7023/

        Si vous souhaitez recevoir un conseil personnalisé et des indications “sur-mesure” pour une prévention adaptée à vous, vous pouvez écrire à : infofrance@deakos.com

        De tout coeur avec vous ❤

        Reply
  • Morceau Jade
    8 janvier 2024

    Bonjour,
    Quelle est la différence entre de la D mannose issue du bouleau et celle issue du mais ? Et savez vous de quelle façon elle est extraite ? Merci beaucoup,
    Jade

    Reply
    • Coco
      9 janvier 2024

      Bonjour Jade et merci pour ce commentaire 😉
      On a tout un article à ce propos, où vous trouverez l’explication de la différence entre D-Mannose extrait du bouleau vs mais et les processus d’extraction ; je vous laisse le lien ici : https://cystiteetcompagnie.fr/2019/09/comment-choisir-un-bon-complement-a-base-de-d-mannose/.
      En bref le D-Mannose est extrait du bouleau grâce à un processus de macération naturelle, alors que le processus pour l’extraire du mais est « chimique » et forcé car utilisant des solvants.

      Reply
  • Mathilde
    21 janvier 2023

    Bonjour,

    Je vous remercie infiniment pour votre blog et toutes ces informations qui m’apportent un peu d’espoir dans le fait d’en finir avec les cystites! Je suis actuellement sous Selexid (7 jours) après une 4ème cystite post-coïtale depuis le mois d’octobre. Le germe identifié est toujours Escherichia Coli, traité par antibiotiques qui finissent par me provoquer une mycose vaginale par la suite. Le médecin souhaite me mettre sous traitement antibiotique en prophylaxie mais je ne suis pas partante car je présente une dysbiose intestinale depuis 2017, et le syndrome de l’intestin irritable pour lequel je suis un régime alimentaire particulier (sans gluten, diminution du sucre et éviction des FOODMAP que je ne tolère pas. Parallèlement à ça, je prend depuis 6 mois Candibiotic tous les matins, conseillé par une naturopathe pour réduire le candida albican présent dans mon organisme et responsable de la dysbiose, traitement qui fonctionne bien pour les troubles intestinaux. Je fais aussi régulièrement des cures de probiotiques (10 jours par mois pendant 6 mois). Bref, je ne sais pas très bien par quel traitement je dois commencer en fonction de tout ce que j’ai lu sur votre blog, j’ai bien compris que je devais prendre du D Mannose en prophylaxie avec des doses plus élevées après un rapport, mais est ce que je dois aussi prendre de quoi dissoudre le biofilm? Et de quoi traiter mon partenaire et faire des douches vaginales? Est-ce que je dois soutenir aussi le terrain avec de la lactoferrine?
    Un grand merci pour votre aide précieuse dans cette problématique!! Je serai heureuse d’éviter les antibiotiques en prophylaxie!

    Reply
    • Mary
      14 février 2023

      Merci pour ce commentaire Mathilde et toutes nos excuses pour le délai vraiment très long de cette réponse :-/
      Ici plusieurs remarques pour vous répondre:

      1) Votre situation est à envisager non pas comme une probmématique urologique isolée mais bien comme une “triade” qui associe:
      -> SII = syndrome de l’intestin irritable (donc dysbiose + inflammation du tube digestif)
      -> Cystites récidivantes post-coïtales (donc très probable présence de biofilms pathogènes + facteur précipitant identifié)
      -> Altération de la flore de Döderlein (donc apparition d’infections vaginales – fongiques dans votre cas = mycoses)
      https://cystiteetcompagnie.fr/index.php/2022/07/28/dysbiose-intestinale-mycoses-et-cystites-le-trio/
      Précisons que s’il est difficile de distinguer “la poule et l’oeuf” (c’està dire quelle problématique est apparue en premier et est la cause des autres), il est en revanche certain que ces trois composantes créent un cercle vicieux qui s’auto-alimente et favorise la chronicisation et aggravation progressive puisque:
      – les épisodes de cystites vous obligent à consommer des antibiotiques qui altèrent le microbiote vaginal et intestinal ce qui aggrave les dybioses
      – les troubles du transit associés au SII favorisent les pullulations bactériennes et fongiques qui deviennent des “réservoirs” infectieux favorisant les cystites et la dysbiose vaginale
      – la dysbiose vaginale et les épisodes de mycoses vous obligent à avoir recours à des antifongiques qui aggrave l’inflammation de la sphère uro-génitale et réduisent les défenses immunitaires locales (ce qui prédispose aux cystites) et s’ils sont utilisés oralement ont des effets collatéraux désastreux sur le microbiote digestif

      Dans un cas comme le vôtre il est donc fondamental d’affronter vos maux comme une seule et unique problématique qui aurait plusieurs facettes et non comme des troubles fonctionnels ou pathologies “sectorialisées”. Ceci suppose donc une approche globale, multifocale et pluridisciplinaire qui tienne compte de tous les aspects et composantes de votre situation et non des approches multiples, parallèles les unes aux autres, et non coordonnées.
      Pour le dire plus pragmatiquement, la supperposition de mesures (naturelles ou non) sans une réelle stratégie coordonnée sera bien moins efficace 😉

      2) Reprenant point par point les éléments ci-dessus et tenant compte de la nécessité d’harmonisation de l’approche, il conviendrait donc dans votre situation de:

      -> Lutter contre le SII au travers une approche triple visant à :
      – régulariser le transit (parlons-nous d’ailleurs d’un SII de type C, D ou M ?) = votre régime alimentaire sert à cela
      – apaiser l’inflammation entérocytaire = rien dans les mesures citées dans votre message ne va en ce sens
      – rééquilibrer le microbiote = la prise de probiotiques et de Candibiotic servent à cela

      -> Soutenir le milieu vulvo-vaginal dans son équilibre global (flore, muqueuse, pH…) avec une approche triple visant à:
      – apaiser les muqueuses pour réduire les troubles inflammatoires (vaginite)
      – recoloniser et soutenir la flore de Döderlein localement
      – réduire les colonies fongiques pour les ramener à des proportions physiologiques (rappelons ici que le C. alicans est une souche commensale présente naturellement dans la flore vaginale comme intestinale et qu’il ne faut donc pas chercher à éliminer totalement mais simplement à maitriser dans son éventuelle croissance excessive)

      -> Combattre la cystite bactérienne au travers une approche double viant à :
      – désagréger et éliminer les biofilms matures pour éradiquer les éventuels foyers infectieux latents
      – prévenir et empêcher l’adhésion bactérienne sur la muqueuse vésicale avec:
      – une prophylaxie de fond basée sur la supplémentation orale en D-Mannose
      – une prévention ciblée au moment des rapport articulée autour de l’application locale de D-Mannose + une prise orale immédiatement après le rapport de D-Mannose orosoluble (dont l’action préventive est plus rapide)

      3) Plus concrètement, ces conseils peuvent se transposer sous forme de schéma posologique complet qui associe :
      -> Pour le SII:
      – régime alimentaire
      – probiotiques + Candibiotic
      – Pealen
      -> Pour le milieu vulvo-vaginal:
      – Ausilium Lavanda
      – Lenicand Crema
      – Lenicand comprimés = NB. si vous optez pour ce produit, il se substituera avantageusement à vos probiotiques actuels (pour éviter les doublons)
      -> Pour le milieu vésical:
      – Ausilium NAC
      – Ausilium 20PLUS
      – Ausilium Crema + D-MannOro

      Pour obtenir les posologies, dosages et conseils plus spécifiques sur les produits cités ci-dessus, je vous invite à contacter: infofrance@deakos.com

      De tout coeur avec vous ❤

      Reply
  • Marie. S
    17 décembre 2022

    Bonjour,

    Je suis sujette aux cystites depuis un petit moment déjà. La dernière en date est apparue très soudainement et s’est rapidement transformée en piélonephryte. L’ECBU a montré une infection à E. Coli et on m’a mise 10 jours sous Amoxycilline. La fièvre est tombée mais l’infection est toujours là. Ça va faire 10 jours que j’essaye de la combattre avec Femmanose (disponible en France) mais rien n’y fait…
    Quels produits pourrais-je commander pour m’aider?
    Merci d’avance.

    Reply
    • Mary
      19 décembre 2022

      Merci pour ce commentaire Marie et bien triste pour votre situation actuelle.

      Plusieurs remarques peuvent être faites ici :

      1) Dans la mesure où vos épisodes de cystite sont récidivants (plus de 4 épisodes aigus / 12 mois) et installés depuis un certain temps, il est raisonnable de penser que des biofilms pathogènes peuvent désormais être présents et responsables de la chronicisation de la problématique.
      Ces structures organisques microscopiques, sortes de mucus, enveloppent les germes uropathogènes et les isolent du milieu vésical ce qui leur permet de survivre même en cas de thérapie antibiotique ou réponse immunitaire importante. De cette manière, l’infection devient persistante et chaque épisode aigu est en réalité une rechute et non une récidive.
      Cet article permet d’approfondir le sujet: https://cystiteetcompagnie.fr/index.php/2018/03/30/biofilm-scenario-de-guerre/
      Cette autre publication est un auto-test rapide pour comprendre si vous êtes potentiellement concernée par les biofilms: https://cystiteetcompagnie.fr/index.php/2019/04/05/1013/

      2) La transformation de votre dernière cystite (infection urinaire basse) en pyélonéphrite (infection urinaire haute) semble donc indiquer une remontée des bactéries dans les reins ce qui est une complication de l’infection favorisée par:
      – une malformation anatomique
      – une grossesse
      – une forte carence des défenses immunitaires
      – la présence de calculs ou “sable” dans les voies urinaires
      Votre ECBU mentionnait-il la présence de cylindres ou cristaux?
      Dans tous les cas, la pyélonéphrite peut entrainer une formation de biofilms pathogènes également dans les voies urinaires hautes.

      3) On imagine facilement en vous lisant que vos épisodes aigus sont traités avec des antibiotiques. Or, lorsque la cystite devient récidivante, ce type de prise en charge présente des limites et des défauts qui, au fil du temps, deviennent supérieurs à ses avantages: https://cystiteetcompagnie.fr/index.php/2018/03/30/cystites-infections-urinaires-recidivantes-antibiotiques-ne-marchent-plus/
      En effet, les antibiotiques ne peuvent pas pénétrer la “barrière” du biofilm et sont donc inefficaces contre les infections persistantes.
      De plus, ces traitements s’ils sont répétés tendent à dépeupler les flores physiologiques ce qui réduit la compétence immunitaire et favorise les infections.
      Enfin, une consommation régulière d’antibiothérapie peut contribuer à une augmentation de la composante inflammatoire de la cystite et donc à une escalade des douleurs et symptômes dans le temps.

      4) Je lis également que vous utilisez aussi du D-Mannose. Ce principe actif naturel, recommandé et indiqué en cas de cystite bactérienne, pour être pleinement efficace doit être:
      – justement choisi : https://cystiteetcompagnie.fr/index.php/2019/09/06/comment-choisir-un-bon-complement-a-base-de-d-mannose/
      – justement dosé : https://cystiteetcompagnie.fr/index.php/2018/03/30/d-mannose-stop-aux-encheres/
      – justement associé à d’autres principes actifs pour combattre les biofilms dans votre cas: https://cystiteetcompagnie.fr/index.php/2018/06/14/la-legende-metropolitaine/

      5) En réponse à votre question, deux notes 😉

      -> Face à une présence de biofilms pathogènes, la prise de Ausilium NAC est sans aucun doute conseillée selon les recommandations d’usage du produit que vous trouverez indiquées dans cet article complet : https://cystiteetcompagnie.fr/index.php/2022/03/25/ausilium-nac-se-presente/

      -> Pour une lutte naturelle efficace et durable contre la cystite, il est nécessaire de prendre en compte et en charge tous les facteurs de risque des récidives. C’est à dire qu’il est pertinent d’identifier toutes les causes des épisodes aigus (facteurs prédisposants et précipitants) afind e définir une stratégie préventive “sur-mesure”.
      Connaissez-vous les vôtres ?
      https://cystiteetcompagnie.fr/index.php/2020/01/14/cystite-la-chasse-aux-coupables/

      Espérant que ces remarques puisses vous aider, de tout coeur avec vous ❤

      Reply
      • Marie S.
        19 décembre 2022

        Merci beaucoup pour toutes ces informations.
        Je m’en vais de ce pas faire une petite commande sur Daekos.

        J’essaye de dire non aux antibiotiques à chaque fois. Je refuse de les prendre et en ai pris seulement après m’être retrouvée aux urgences à cause d’une fièvre monumentale.. à chaque fois on m’a dit que j’avais frôlé la septicémie et que je n’avais d’autres choix que de prendre ces fichus antibios.

        Bref. En espérant que le combat sera bientôt terminé… merci encore.

        Reply
        • Mary
          5 janvier 2023

          Merci pour votre réponse et navrée de ne pas avoir donné suite plus tôt…
          Sur la question du recours aux antibiotiques, il convient d’avoir une démarche “souple” et de les accépter pour ce qu’ils sont: une corde de plus à l’arc des possibilités d’intervention face à la problématique. Utilisés à bon escient, ils ont toute leur place bien entendu et ne doivent pas être diabolisés ou source de “culpabilité” 😉

          De tout coeur avec vous ❤

          Reply
  • Duhoux
    15 août 2022

    Bonjour
    Un problème de vessie a engendré depuis 5 ans, une pielonephrite, une septicémie et l obligation de m auto sonder…….
    Malheureusement je fais a répétition des infections urinaire echericha colis ou klesbiella………
    Je fais des cures de demanoses mais tout les 2 a 3 mois je fais une infection malgré précautions boire, laver……….de plus pré ménopause ………..
    Amélioration besoin d antibiotiques moins puissants mais bon……
    Pouvez-vous me conseiller des cures et à quelle fréquence ?
    Puis-je prendre du d manose regulierement…

    Reply
    • Coco
      16 août 2022

      Chère Patricia, un grand merci pour votre commentaire et la description de votre situation.

      Il est fondamental ici de rappeler que le D-Mannose est un principe actif naturel qui agit contre les bactéries selon un mode d’action mécanique et présente la caractéristique de ne pas s’accumuler dans l’organisme (éliminé avec la miction).
      Pour cette raison, quel que soit le produit employé, une interruption de la prise de D-Mannose sur une période supérieure à 12h implique une absence complète du principe actif dans les voies urinaires avec, pour conséquence, une absence totale de couverture préventive assurée par cette substance.
      Pour répondre donc à votre question le D-Mannose peut être pris à long terme sans aucun problème :

      https://cystiteetcompagnie.fr/index.php/2021/08/13/d-mannose-le-prince-charmant/

      Aux vus de ces éléments, et en suivant la description de votre situation actuelle, il ne nous semble pas pertinent de vous suggérer des phases d’interruption de la prise d’une supplémentation à base de D-Mannose , étant ce dernier un sucre naturel (habituellement extrait du bouleau) non assimilable par l’organisme.
      Cette particularité lui confère deux propriétés :
      1. son impact sur la glycémie est infime (nul en dessous de 0.2g/j/kg de poids) ce qui permet une prise par tous et à tous les moments de la vie ;
      2. son élimination se fait par le biais de l’appareil urinaire.

      https://cystiteetcompagnie.fr/index.php/2018/03/30/d-mannose-pris-voie-orale-arriver-vessie/
      De plus, il est cohérent d’établir un lien entre la survenue de vos infections urinaire et l’emploi de la sonde urinaire, ce qui provoque une présence bactérienne chronique dans les voies urinaires, qui entraine :
      – L’obligation de consommer toujours des antibiotiques
      https://cystiteetcompagnie.fr/index.php/2018/03/30/cystite-et-antibioprophylaxie/

      – La formation de biofilm pathogène qui rendent la situation persistante et récidivante
      https://cystiteetcompagnie.fr/index.php/2018/03/30/biofilm-scenario-de-guerre/

      Il convient alors d’agir préventivement sur l’ensemble de facteurs prédisposants et précipitants de l’infection urinaire.
      Dans votre cas particulier, l’approche la plus adaptée serait la suivante :
      1) Agir contre le biofilm pathogène mature et sa possible formation suite à l’introduction de nouveaux agents pathogènes avec Ausilium NAC
      2) Assurer une prise préventive quotidienne constante en D-Mannose avec Ausilium Light pour inhiber l’adhésion des germes uropathogènes dans la vessie et favoriser leur élimination naturelle.
      3) restaurer les flore au travers la prise de probiotiques ( Deaflor )
      En conclusion, aux vues des éléments de votre message et des considérations précédentes, nous pouvons vous suggérer :
      – Ausilium NAC : 3 flacons, 3 fois par jour matin et soir, loin des repas
      – Ausilium Light : (prise compatible avec Ausilium NAC) : 3 mesurettes 3 fois par jour loin des repas
      – Deaflor : 2 fois par jour aux repas
      Si vous souhaitez approfondir ces suggestions et obtenir un devis personnalisé posologique pour mettre en place la démarche décrite ci-dessus, vous pouvez contacter : infofrance@deakos.com
      En espérant avoir été utile je reste à disposition pour d’autres questions,
      Coco

      Reply
  • Elsa
    4 mars 2022

    Bonjour et grand merci pour cette mine d’informations !!! Quand doit-on prendre le D mannose ? Uniquement pendant une cystite ou justement on peut l’utiliser à titre préventif ? Grand grand merci d’avance

    Reply
    • Mary
      4 mars 2022

      Merci pour ce joli et gentil commentaire Elsa 🙂
      Le D-Mannose est un principe actif qui, étant naturel, présente le grand avantage de pouvoir être consommé par tous, sur des périodes courtes comme longues et à des dosages faibles comme élevés sans aucun effet secondaire ni risque. Une prise préventive prolongée “de sécurité” est donc souvent la bienvenue. Bien entendu, il convient d’adapter cette prise au sujet pour que l’efficacité préventive soit optimale et pour éviter de “gaspiller” le produit (et dépenser de l’argent inutilement).
      Pour cette raison, idéalement:
      -> la prise de D-mannose (dosage et durée) doit être contextualisée dans une stratégie construite sur la base de la problématique individuelle: facteurs prédiposants et précipitants des cystites, nature des cystites, fréquence et ancienneté des récidives
      -> les modalités d’usage de ce principe actif sont également à adapter en fonction du type de problématique rencontrée puisque le D-Mannose peut être:
      – soluble
      – orosoluble
      – d’application locale (topique)

      Enfin, il est fondamental de préciser que le D-Mannose, comme seul et unique principe actif, est rarement résolutif contre la cystite (spécialement si celle-ci est récidivante et multifactorielle). C’ets pour cela qu’il est nécessaire de comprendre quels sont les mécanismes de colonisations des voies urinaires (facteurs de risque) qui conduisent aux épisodes aigus car, en identifiant les facteurs prédisposants et précipitants des épisodes aigus, il devient plus simple de choisir les associations de principes actifs appropriées et aptes à offrir une solution efficace et durable. A titre d’exemples:
      – lorsque la cystite est récidivante et probablement corrélée à la présence de biofilms pathogènes, il sera fondamental d’associer D-Mannose à NAC et Lactoferrine
      – si la cystite est post-coïtale, l’usage d’une crème vaginale contenant du D-Mannose sera indiqué au moment des rapport
      – si la cystite est une conséquence de la dysbiose vaginale, une application locale (vaginale) de D-mannose associé à des Lactobacilles est indiquée

      En résumé donc, il n’existe pas de réponse “standard” à votre question mais bien un usage adapté du D-mannose en fonction du sujet 😉
      Cet article fournit toutefois quelques “pistes” de schémas posologiques types : https://cystiteetcompagnie.fr/index.php/2021/11/19/1826/
      Le mieux étant de vous faire conseiller, individuellement! Pour cela, vous pouvez contacter le bureau: infofrance@deakos.com ou rejoindre notre groupe de soutien FB: “Cystite récidivante”

      De tout coeur avec vous ❤

      Reply
  • Marianne
    20 janvier 2022

    Bonjour,
    Je ne sais pas si ce blog est toujours d’actualité.
    Je faisais des cystites/mycoses régulièrement, entre 2017 et 2019, puis j’ai été tranquille jusqu’à novembre 2021. Cystite vérifiée par bandelette urinaire, monuril n’a pas fait grand chose, guérie par selexid. Mycose traitée en parallele.
    Rebelotte fin décembre/début janvier, monuril n’a pas marché du tout, et Selexid a tout résolu en 3 où 4 jours max. S’en est suivie à nouveau une mycose que je traite actuellement. L’ecbu ne montre pas de germe (souvent fait après prise de monuril), ni de leucocytes, mais du sang en grande quantité, et le Selexid me « guérit » à chaque fois. J’ai essayé D-Mannose, mais celui-ci me provoque des diarrhées (j’ai le syndrome du colon irritable). Qu’en pensez-vous?Comment se fait-il que des cystites sans germe retrouvé se guérissent avec des antibiotiques?Quels conseils pouvez-vous me donner?
    Merci.

    Reply
    • Coco
      26 janvier 2022

      Merci pour ton commentaire.

      Absolument, notre blog est toujours actif et plein de ressources et d’informations qui sont mises à jour assidûment en espérant faire le meilleur pour nos lecteurs, (bien entendu : le weekend c’est le weekend !)

      Je te remercie pour cette description si claire de ta problématique et j’essaierai ci-dessous de répondre à tes doutes /questions.

      La situation que tu décris ici n’est qu’un exemple explicite de « cercle vicieux » qui se crée malheureusement quand les cystites récidives, que les prises antibiotiques se multiplies et que cela provoque des « sur-problématiques » qui viennent s’ajouter au cadre (mycoses dans ton cas). Chaque « tour de roue » déstabilise d’avantage l’équilibre de ta flore locale et de ton immunité en générale provoquant et augmentant l’indice des épisodes aigus, qui deviennent au final chroniques….
      Compte tenu des détails que vous tu fournis tes facteurs des risques semblent tout à fait être bien visibles :
      Cystites récidivante – > antibiotiques – > baisse des défenses immunitaires – > altération de la flore physiologique locale – > altération de la flore intestinale -> dysbiose -> mycose et allez, on recommence !!
      (D’ailleurs as-tu pu faire un prélèvement vaginal ?)
      https://cystiteetcompagnie.fr/index.php/2018/10/19/cystite-recidivante-comment-une-problematique-simple-devient-chronique/

      Tu parles justement de cystite abactérienne ( ECBU négatif ) comme aussi de « guérison » retrouvé mais fait gaffe ! Car visible ce terme semble être le moins approprié vu que cette les épisodes aigus reviennent de manière de plus en plus rapprochée à chaque fois, ce qui démontre surement :
      – une chronicisation de l’inflammation (autre détail évident : la présence de sang dans tes urines)
      https://cystiteetcompagnie.fr/index.php/2021/10/19/cystite-abacterienne-synthese/
      – et, sans doute de l’infection (biofilm)
      https://cystiteetcompagnie.fr/index.php/2018/03/30/cystite-infection-urinaire-recidivantes-biofilm-explication/

      Tu écris aussi de souffrir de syndrome du côlon irritable qu’effectivement peut provoquer des intolérances différentes. Dans de très nombreux cas, ces intolérances concernent les FODMAPS, groupe auquel appartient en effet le D-Mannose qui occasionne chez toi ces désagréments.
      Dans ton une solution pourrait donc être l’utilisation de D-Mannoro : un d-mannose orodispersible qui fond dans la bouche et passe directement dans le sang via la muqueuse buccale et ne provoque aucun désagrément digestif.
      Je te laisse ici un article intéressant à lire sur le lien entre D-Mannose et intestin :
      https://cystiteetcompagnie.fr/index.php/2018/08/30/action-du-d-mannose-sur-le-transit/

      En conclusion pour pouvoir se diriger vers une démarche efficace il faut donc agir sur plusieurs axes, je t’écris ci-dessous une combinaison d’actions et produits Deakos que tu pourrais mettre en œuvre :
      – Identifier la nature de ta dysbiose vaginale : prélèvement vaginal
      – Dissoudre l’éventuel biofilm : Ausilium NAC et D-Mannoro
      – Restauration de la flore physiologique et de l’immunité locale : Ausilium Lavanda, Ausilium Flora , Lenicand comprimés
      – Soutien du trophisme et de l’hydratation des muqueuses : Ausilium Crema
      – Restauration et réépithelisation des muqueuses : Cistiquer
      – Restauration de la flore intestinale : Deaflor

      + pour minimiser les agressions subies par l’urothélium essaies de :
      – Suivre un régime alimentaire tendanciellement alcalinisant
      – Porter de vêtements amples et de sous-vêtements en coton

      Pour la posologie je te conseille de contacter directement Deakos et d’écrire un mail : infofrance@deakos.com

      Espérant que ma réponse te sera utile, plein de bonnes choses !
      Coco

      Reply
  • MUHVIC Aurelie
    28 août 2021

    Bonjour,

    Merci tout d’abord pour vos articles très intéressants! Je découvre toutes les subtilités de la cystite.
    Ayant eu quelques cystites (2 voir 3 max par an) depuis quelques années, je m’intéresse beaucoup au D -Mannose et ses modalités de prise. A titre préventif, j’aimerai savoir la durée du traitement préconisé pour le D-mannose ainsi que le dosage par jour? Idem en période curative.
    Merci beaucoup pour vos précieux conseils,
    Bien à vous,

    Aurélie

    Reply
    • Coco
      2 septembre 2021

      Bonjour Aurélie,
      Merci pour votre message et surtout pour vos appréciations concernant le blog et votre recherche attentive envers la cystite et ses subtilités.
      En outre vous déclarez un fort intérêt envers le D-Mannose, intérêt absolument pertinent face à une situation de cystite, même si occasionnelle.
      Le D-Mannose est un sucre naturel (habituellement extrait du bouleau) non assimilable par l’organisme. Cette particularité lui confère deux propriétés:
      1. son impact sur la glycémie est infime (nul en dessous de 0.2g/j/kg de poids) ce qui permet une prise par tous et à tous les moments de la vie
      2. son élimination ce fait par le biais de l’appareil urinaire.
      Ce dernier point est fondamental puisque c’est précisément dans les voies urinaires que le D-Mannose peut exercer une action bénéfique principalement de deux façons:
      – Inhibition de la capacité d’adhésion des bactéries pathogènes
      – Restauration de l’intégrité des muqueuses vésicale et urétrale
      Tout cela en respectant le système immunitaire, sans endommager l’immunité locale et surtout sans créer des conséquences négatives à long termes.
      Aujourd’hui nous avons la possibilité de trouver plusieurs type de D-Mannose sur le marché mais lorsque la cystite devient récidivante, le D-mannose seul peut parfois ne plus suffire pour lutter contre la réinfection et ses conséquences: symptomatologie douloureuse, inflammation de l’urothélium, contracture pelvienne, troubles gynécologiques afférents…etc
      C’est la raison pour laquelle plusieurs personnes n’arrivent pas résoudre la problématique avec la seule utilisation du D-Mannose :
      Effectivement notre gamme uro-gynécologique inclut plusieurs compléments alimentaires et dispositifs médicaux à base de D-Mannose qui associent d’autres principes actifs soigneusement choisis pour leurs utilités et leurs propriétés bénéfiques adaptées aux différents types de situations.
      Vous nous demandez l’éventuelle posologie an phase aigue et en phase préventive mais avant de pouvoir atteindre une réponse précise il serait essentiel de comprendre votre historique pour permettre une prise en charge globale et une démarche ciblée face à votre situation personnelle :
      chaque cas est unique et
      Quels sont vos facteurs de risques ?

      Avez-vous jamais réalisé des ECBU ?

      https://cystiteetcompagnie.fr/index.php/2020/01/14/cystite-la-chasse-aux-coupables/
      https://cystiteetcompagnie.fr/index.php/2020/03/06/cystite-bacterienne-dou-viennent-les-germes/
      si vous souhaitez recevoir des conseils personnalisés vous pouvez également écrire un mail à l’adresse infofrance@deakos.com en décrivant de manière détaillé les facteurs de risques et le déroulement de vos cystites,
      Espérant avoir été utile, je reste à disposition,
      Coco

      Reply
  • Christiane Weber
    28 février 2021

    Cystite sans germes mais besoins d’uriner en continu… que faire ?

    Reply
    • Mary
      16 mars 2021

      Merci pour ce commentaire Christiane et bien triste pour vous.

      Cet article devrait répondre à vos questions -> https://cystiteetcompagnie.fr/index.php/2019/05/31/cystite-sans-bacterie/

      Si vous avez besoin d’un conseil personnalisé, vous avez aussi le service client Deakos à disposition: infofrance@deakos.com

      De tout coeur avec vous ❤

      Reply
      • Ouafae Oufrid
        25 décembre 2021

        Bonjour

        Voilà mon histoire depuis 2018 j’ai des cystites à répétition en cause e.coli soulagé par prise d’antibiotiques en sachet unique puis s’en es suivi d’autre cystites cette fois en cause un autre germe le porteus mirabilis et à chaque fois c’est le même germe en depuis 2019 malgré la prise d’antibiotiques… je tient un carnet de bord pour essayer de trouver la cause de la crise sans succès. Bon je peux pas dire que j’ai une alimentation irréprochable mais je bois beaucoup de tisane et d’eau par jour et je suit les recommandations de mon médecin. L’anti bio gramme montre une résistance à un antibiotique ce qui est normal vu le nombre de prise. J’ai consulté récemment un urologue qui m’a conseillé un complément et des gélules vaginal. Je souhaiterais trouver une solution efficace dans le temps car je compte me lancer dans la pma et cela devient un enfer les médecins me disent qu’il n’y a pas de solution miracle.

        Reply
        • Coco
          28 décembre 2021

          Merci pour ce commentaire.

          Je te réponds avant Mary car elle est très occupée… j’espère que ma réponse sera à la hauteur de tes attentes 😉

          La première chose à dire ici c’est que tu souffres de cystites récidivantes, c’est à dire que tu es probablement victime de biofilms pathogènes: https://cystiteetcompagnie.fr/index.php/2018/03/30/biofilm-scenario-de-guerre/
          Donc, pour sortir du “cercle vicieux” il faudrait déjà commencer par attaquer et détruire ces biofilms.

          Ensuite, les nombreuses prises antibiotiques t’ont conduit à voir apparaitre des bactéries différentes et toujours plus résistantes : https://cystiteetcompagnie.fr/index.php/2018/03/30/cystites-infections-urinaires-recidivantes-antibiotiques-ne-marchent-plus/

          A ce propos, il est très important de comprendre que l’alternance entre E. coli et Proteus est sans doute le plus important de tes “problèmes” (sans dramatiser bien sur): https://cystiteetcompagnie.fr/index.php/2021/05/07/proteus-cest-une-bacterie-pas-comme-les-autres/
          parce que cette dernière bactérie a la particularité de modifier le pH urinaire en l’alcalinisant pour y etre plus à l’aise. Alors que E. coli (comme la plupart des uropathogènes) vit très bien dans un milieu acide.
          Ta prise en charge devra donc tenir compte (au travers des controles réguliers avec papier pH) de ce paramètre pour savoir si tu dois ou non prendre un alcalinisant urinaire.

          Comme tu l’auras lu dans cet article, des “vraies” solutions alternatives et naturelles existent. cela demande un peu de patience et des efforts mais il est possible de s’en sortir 🙂

          En particulier, pour toi, je conseillerais:
          – Ausilium NAC
          – Ausilium Forte OU Ausilium Light + Nonidea (selon le pH urinaire)
          – Ausilium Crema + D-MannOro pour les rapports

          Beaucoup de courage !

          Reply
  • Jessie
    4 janvier 2021

    Bonjour
    Tout d’abord, merci pour ce blogue et enfin des solutions. Effectivement je me sens moins seules …
    ma petite histoire : dés difficultés pour faire un bébé je rentre dans le dispositif pma une première fois avec un premier bébé rapidement au bout de la seconde insémination. 2 ans plus tard nous souhaitons remettre ça avec une première insémination qui fonctionne et qui tourne au cauchemars en grossesse extra utérine piqûre de methotrexate et médicament pour expulser. Par la suite le cauchemar commence avec des insémination qui ne marchent plus et dès infection urinaire à gogo. Je fais environ une tous les mois depuis juin et et ça coïncide avec lés inséminations. Les gygy me disent que les hormones peuvent provoquer des irritation. Je refais une cystite en septembre à la suite d’une insémination avec une fausse couche par la suite. Une autre le 27 novembre à la suite de l’insémination une autre 15 jours après et grossesse extra utérine rebelotte methotrexate et une nouvelle infection le 31 décembre. J’arrive au bout de ce que je peux supporter. J’ai fait un ecbu à chaque fois qui confime la présence e coli le monuril ne fonctionne plus je passe au ofloxine. En septembre j’ai fait un ecbu avec leucocyte mais sans germe alors que j’avais des douleurs sans forcément faire pipi. Et pour couronner le tout une mycose avec chaque prise antibiotique le médecin m’a prescrit une echo dès la vessie et des reins car la dernière en date est plus haut que la vessie avec douleur dans le ventre au niveau des reins. C’est un grand cri au secours HELP que je vous envoie

    Reply
    • Virna
      8 janvier 2021

      Tout d’abord, je t’envoie du courage pour traverser cette situation qui n’est pas facile à vivre. Avec tous ces traitements et les antibiotiques pris, je pense que tu pourrais tirer profit de cures de probiotiques. Il faut les prendre sur plusieurs mois. Tu pourrais aussi prendre du D mannose pendant plusieurs jours autour des inséminations. Et je te souhaite d’avoir bientôt un résultat positif !

      Reply
  • Fuse
    30 octobre 2020

    « Depuis toujours, il est admis que les urines (et plus largement l’appareil urinaire constitué de la vessie et de l’urètre) constituent un milieu « stérile ». Cette donnée scientifique, actuellement très discutée et sujette à de nombreux débats dans la communauté scientifique reste encore valable à ce jour (jusqu’à preuve du contraire). »

    On dispose de telles preuves de nos jours.

    https://doi.org/10.1128/jcm.00044-16

    https://doi.org/10.1128/JCM.02876-13 “Our current study demonstrates that urine contains communities of living bacteria that comprise a resident female urine microbiota.”

    Il s’agit de bactéries que les cultures « classiques » ratent pour des raisons diverses. (“either because the number of organisms present is below the culture threshold of 10³ CFU/ml or because growth of these bacteria required special culture conditions, such as anaerobic atmosphere, incubation in an increased CO₂ environment, or prolonged incubation time.”) Dans cette étude, une fois les bactéries identifiées par séquençage, ils ont été en mesure d’élaborer une procédure de culture mettant les bactéries en évidence : “Using these modified culture and incubation tactics (expanded quantitative urine culture [EQUC]), we demonstrated that many of the organisms identified in urine by 16S rRNA gene sequencing are in fact cultivable.”

    D’ailleurs, de manière générale, les cultures classiquent ne ratent pas juste des bactéries innocentes mais également des bactéries pathogéniques, et les bactéries qu’elles trouvent ne sont pas nécessairement pathogéniques. Il s’agit d’un test à la qualité déplorable.

    On n’a pas de preuve que l’urine *est* stérile, c’est juste une supposition qu’il n’y a pas vraiment de raison de faire, à moins de croire les cultures malgré les preuves qu’on a de leur inefficacité.

    Reply
    • Mary
      18 novembre 2020

      Merci pour ce commentaire très juste et pertinent 🙂

      Reply
  • Maureen
    14 février 2020

    Bonsoir ! Je lis depuis plusieurs jours ce blog en long, en large et en travers… Après 3 ans de paix, qui ont fait suite à deux ans d’infections urinaires mensuelles, les voilà de retour, ces foutues infections… Voici la troisième en trois mois. Je prends du D-mannose, qui tient l’infection en respect mais ne parvient pas à la chasser… Mon médecin m’a prescrit des antibios que je n’ai pas envie de prendre. J’ai reçu aujourd’hui Ausilium 20 plus et Ausilium NAC et ma question est la suivante : devrais-je prendre les antibios puis commencer le traitement pour détruire le biofilm, ou bien ai-je une chance de soigner cette infection avec ces produits ? J’hésite vraiment… Merci pour votre aide précieuse !!!

    Reply
    • Mary
      5 mars 2020

      Merci pour votre commentaire Maureen et navrée de ne pas avoir pris le temps de vous répondre plus tôt.
      Ce blog n’a pas pour vocation de se substituer à l’avis médical ni de conseiller / déconseiller une thérapie soumis à prescription. Pour cette raison, il est vraiment très délicat de répondre à votre question qui relève d’un avis médical.

      Au-delà de votre approche pour désagréger un éventuel biofilm (Ausilium NAC + Ausilium 20PLUS) avez-vous identifié vos facteurs prédisposants et précipitants ? En effet, seule cette « enquête » préliminaire vous permettra de mettre en place une stratégie préventive « sur-mesure » adaptée à votre situation et capable de vous débarrasser durablement de la cystite et ces récidives https://cystiteetcompagnie.fr/index.php/2020/01/14/cystite-la-chasse-aux-coupables/

      Reply
  • Camille
    26 janvier 2020

    Bonjour,
    Je vous contact ajd pour vous demander conseil sur les formes de D-mannose à prendre.
    Voilà, j’ai commencé à faire des cystites ap des rapports malgré les mesures d’hygiène de base. A chaque fois e.coli traité par fosfomicyne. Je ressent qqfois une gêne au niveau du meat en dehors des mictions, sans rien donner à l’ecbu. Actuellement je redoute la survenue d’une infection et cela impact ma relation, et je m’inquiète aussi de l’antibioresistance…bref je psychote et je souhaite sortir la tête de l’eau.
    Que me conseillez vous ?
    Je vous remercie pour toutes les infos de votre site et de la réponse que vous pourrez me donner.
    Bien à vous,
    Camille

    Reply
    • GiGi
      27 janvier 2020

      Salut ma Belle !

      Je passais par là et vois ton message (snif snif). Du coup, je fais craquer mes petits doigts musclés pour te réponde hihihi 🙂
      « Je vous contact ajd pour vous demander conseil sur les formes de D-mannose à prendre. »
      Ausilium, Ausilium, Ausilium (LOL) 🙂
      Non, plus sérieusement je te conseille 3 choses :
      N°1 : lis cet article : https://cystiteetcompagnie.fr/index.php/2019/09/06/comment-choisir-un-bon-complement-a-base-de-d-mannose/ Tu y trouveras touuuuuuuut les conseils et astuces pour bien choisir “ton” produit 😉
      N°2 : vue ton « cas » je pense qu’il ne te faut pas un seul produit mais peut être deux ou trois puisque tu vas avoir besoin de :
      – Chasser le biofilm qui t’embête et cause tes récidives et gênes
      – Prendre en charge les bactéries qui essaient de « planter la tente » dans ta vessie
      – Faire de la prévention ciblée au moment des câlins
      N°3 : écris à Deakos (infofrance@deakos.com) pour recevoir un conseil personnalisé qui sera bien plus clair que moi !!

      « j’ai commencé à faire des cystites ap des rapports malgré les mesures d’hygiène de base. »
      Ah ouais, cette bonne vieille cystite post-coïtale… pfff, je te plains ma pauvre ! Tu as lu par ici ? https://cystiteetcompagnie.fr/index.php/2018/03/30/cystite-post-coitale-peur-lendemain/
      En gros cet article te donne les astuces qu’aucun médecin ne donne jamais (grrrrr), du coup à associer aux traditionnelles mesures d’hygiène :
      – Utiliser un lubrifiant (Ausilium Crema c’est le top car il contient aussi D-mannose !)
      – Prendre du D-Mannose sublingual juste après le câlin (D-MannOro par exemple)
      – Augmenter tes prises de D-mannose les jours suivants histoire d’empêcher les bactéries de proliférer si jamais elles ont réussi à entrer dans a vessie malgré tout
      « A chaque fois e.coli traité par fosfomicyne »
      Voilà, voilà, voilà… des antibio « à gogo » (j’connais bien la chanson) pour soi-disant te guérir mais qui, en fait, ne font rien d’autre que d’aggraver les choses => lis ici 😉 https://cystiteetcompagnie.fr/index.php/2018/03/30/cystites-post-coitales-hormonaux-dependantes-antibiotiques-ca/

      « Je ressent qqfois une gêne au niveau du meat en dehors des mictions, sans rien donner à l’ecbu »
      Ben oui, c’est normal, ça s’appelle la vaginite ! En gros, ta vulve et tes muqueuses sont tellement irritées à cause des antibio que tu n’as même plus besoin d’avoir des bactéries pour avoir des douleurs et des gênes, Youpi !! (c’est ironique bien sûr)

      « je redoute la survenue d’une infection et cela impact ma relation, et je m’inquiète aussi de l’antibioresistance… »
      Comme je te comprends. Moi aussi j’avais peur, et plus le temps passait plus la peur de ne pas m’en sortir grandissait. Après comme je suis d’un caractère optimiste j’ai toujours su au fond de moi que la solution existait, qu’elle était bien là et m’attendait. Alors hauts les cœurs ma belle ! Si tu es arrivée sur le blog tu as déjà fait 80% du job !!
      Tu connais ton problème, tu connais sa cause, tu viens de rencontrer ceux qui vont pouvoir t’aider (Deakos), alors n’hésites pas !!

      « Que me conseillez vous ? »
      Je te conseille de leur écrire un mail si tu veux recevoir un conseil ultra-personnalisé. Même si je peux déjà te donner mon humble avis 🙂 (en toute modestie) :
      – Tu devrais déjà virer le biofilm de ta vessie => Ausilium NAC + Ausilium 20PLUS pendant 15 jours
      – Ensuite, il faudra que tu ais toujours un « petit soldat de protection de ta vessie » => Ausilium 20PLUS au quotidien
      – Au moment des câlins et quand ça pique, brulure ou « gêne » (pour reprendre ton expression) => Ausilium Crema + D-MannOro
      Et j’ajoute qu’il faut mettre des coups de pied au derrière de ton doc pour qu’il arrête de te prescrire le même antibio et qu’il te fasse faire un ECBU pour adapter le traitement (si vraiment tu ne peux pas faire autrement hein). Comment ?… Ah ben oui, qu’il fasse son boulot quoi !!!!!

      Allez ma belle, je t’embrasse bien fort et te dis à très bientôt avec des bonnes nouvelles j’espère.
      https://cystiteetcompagnie.fr/wp-content/plugins/wp-monalisa/icons/wpml_bye.gif

      Reply
      • Angleraud
        30 janvier 2020

        Merci beaucoup pour ces conseils ! Ca soulage d’un poids de ne pas se sentir seule dans ce cas ^^ Je vais les contacter pour avoir leur avis et puis j’espère que ce produit marchera aussi bien pour moi qu’il à fonctionné pour toi =) Dans le cas contraire existe t -il d’autres marque qui proposent ce genre de produits en France ou en Italie ?
        En tout cas j’avais bien parcouru ton site avt de t’envoyer un msg et ca m’as apporté bcp d’infos 😉
        Je te remercie !

        Reply
        • GiGi
          31 janvier 2020

          Salut ma belle!
          Je suis trop contente d’avoir une réponse de ta part; et si en plus j’ai pu t’aider un peu alors c’est top! (je me suis mise à “bloguer” surtout pour ça, pour éviter que d’autres femmes se trouvent à galérer comme j’ai pu le faire pendant des années 😉 ).
          Je suis sûre que tu auras une réponse rapide et “sur mesure” (je croise les doigts pour ne pas me tromper hihihi)
          Alors oui, des produits à base de D-Mannose maintenant il en existe vraiment beaucoup (et d’un côté c’est super bien!); le gros problème c’est que tous ne se valent pas (comme Loréal hihihi) et que c’est en train de devenir une gigantesque “foire à la saucisse” LOL
          Dans mon expérience j’ai testé plusieurs marques au début de ma “rencontre” avec ce chouchou 🙂 Je dois dire que tous les produits m’apportaient un “mieux” mais quand j’ai essayé (par hasard) Ausilium la première fois ça a été le jour et la nuit (genre ma vessie a disparue !!!!). Du coup je suis restée avec celui-là et toute la gamme Deakos.
          Mais c’était il y a 8 ans maintenant, heu non 9 ans (oh purée le temps paaaaaasse….) peut être que maintenant d’autres nouveaux produits sont sortis (à voir, tu me diras si tu “explore le marché” 😉 ).

          Ah par contre je te laisse ces deux liens:
          => un article de Mary pour “bien choisir” les produits : https://cystiteetcompagnie.fr/index.php/2019/09/06/comment-choisir-un-bon-complement-a-base-de-d-mannose/
          => un article de moi pour éviter les pièges : https://cystiteetcompagnie.fr/index.php/2018/03/30/d-mannose-stop-aux-encheres/

          Gros bisous ma belle et à très vite pour des BONNES nouvelles
          Pour essayer de bin choisir

          Reply
  • Marianne
    14 avril 2019

    Bonjour
    Je viens de trouver votre site.
    Je vous explique mon cas.
    J’ai eu une première cystite avec ecbu positif (e coli), il y a deux ans. Le médecin m’a prescrit oflocet sur 3 jours qui a bien marché.
    Depuis, je fais régulièrement des cystites à ecbu négatif (environ 4 par an), traitées par Monuryl, qui marchait aléatoirement, suivi de oroken en cas de cystite récalcitrante à monuryl, qui marchait bien, plus souvent ovule pour mycose vaginale. Je viens de déménager et donc de changer de medecin.
    Mon nouveau médecin me dit qu’oroken est à éviter car cela entraîne des résistances. Il m’a donc mise sous monuryl j1 j3 j5 (donc trois jours), mais cette fois-ci, ma cystite s’accroche. Il a enchaîné avec amoxicillin car je ne supporte par les oflocet, Bactrian, furadantine, et il ne veut pas me mettre sous oroken.
    La cystite ne passe pas. Je précise que les cystites surviennent toujours juste avant, ou en début ou fin de règles, donc l’ecbu m’est Souvent pas prescrit à cause des règles qui apparemment pourraient fausser le résultat.
    Quels sont vos conseils? J’ai l’impression d’etre Rentrée dans un cercle vicieux. J’ai tous les Symptômes de la cystite même quand l’ecbu est négatif, et jusque là, les antibiotiques me soulageaient, mais cette fois-ci cela ne marche pas.

    Reply
    • Mary
      15 avril 2019

      Merci pour ce commentait et bien triste de vous lire.
      Il y a dans votre témoignage plusieurs éléments :
      – L’existence de cystites récidivantes qui, progressivement, semblent devenir abactériennes
      – De très nombreuses prescriptions antibiotiques à l’aveugle (alors que cette démarche est totalement inutile et inefficace en cas de cystite sans germes)
      – La présence d’une forte dysbiose vaginale sans doute due à ces thérapies antibiotiques répétées
      – L’aggravation de la problématique et l’apparition des épisodes aigus en lien avec le cycle hormonal

      Dans votre cas, on peut donc faire l’hypothèse d’une association de facteurs prédisposants et précipitants qui sont à la racine des épisodes aigus de cystite :

      1) Présence d’un biofilm pathogène qui rend l’infection persistance et résistante malgré les thérapies antibiotiques proposées
      C’est sans doute ce même biofilm qui est responsable de la chronicisation de la problématique, de son évolution vers une nature inflammation (la matrice polysaccharidique du biofilm agressant en permanence l’urothélium) et de la disparition des germes sur les ECBU (le foyer infectieux latent étant « caché » sous la matrice externe du biofilm).
      https://cystiteetcompagnie.fr/index.php/2018/03/30/biofilm-scenario-de-guerre/

      2) La dysbiose vaginale
      Qui est, en réalité, une problématique sans doute chronique alternant entre phases asymptomatiques (« sourdes », latentes) et des phases aigues (lorsque la mycose devient visible suite à la prise de l’antibiotique).
      Cette altération de l’équilibre de la flore de Döderlein (flore vaginale physiologique) compromet les défenses immunitaires locales de la sphère uro-génitale et expose d’avantage aux risques d’infections.
      https://cystiteetcompagnie.fr/index.php/2019/03/15/lecosysteme-vulvo-vaginal-flore-hormones-muqueuse-et-ph-un-subtile-equilibre/

      / !\ Il est ici à noter que, la « sensibilité » accrue que vous avez remarquée au moment des menstruations provient sans doute du fait que la chute des œstrogènes qui précède les menstruations occasionne une réduction de la croissance des Lactobacilles de la flore vaginale. Chez un sujet sain, cet effet n’a aucune conséquence, mais en cas de dysbiose latente, la réduction de la croissance des Lactobacilles entraine une raréfaction de la flore suffisante à laisser passer les germes potentiellement uropathogènes.
      A ceci, il convient d’ajouter que ces mêmes hormones ont un effet similaire sur le trophisme de l’urothélium (paroi vésicale) ce qui fait de la période prémenstruelle une période « à risque » en cas de cystite abactérienne (car la vessie est plus fragile vis-à-vis de pro-inflammatoires).
      A ce propos je vous renvoie à cet article : https://cystiteetcompagnie.fr/index.php/2018/08/30/cystite-et-menstruations/

      3) La prise répétée et, parfois, inadaptée, d’antibiotiques est à ranger, dans votre cas, comme un facteur prédisposant à part entière. En effet, ces thérapies, loin de résoudre votre problématique (pour les raisons évoquées ci-dessus), semblent en aggraver la composante inflammatoire, augmenter la résistance des germes en cause et réduire ultérieurement vos défenses immunitaires (flore de Döderlein).
      Pour cette raison, face à un épisode aigu, je vous invite à suivre les conseils de cet article : https://cystiteetcompagnie.fr/index.php/2018/08/03/que-faire-en-cas-de-cystite-aigue/

      Dans un cas comme le vôtre, une approche cohérente consisterait donc à prendre en charge les 3 aspects principaux de votre problématique avec :
      -> Une intervention contre le biofilm pathogène pour éradiquer le possible foyer infectieux latent
      -> Une intervention de « bonification » du milieu vaginal pour retrouver un équilibre des muqueuses et flores apte à vous protéger au mieux (y compris durant la phase pré-menstruelle)
      -> Une prise en charge conjointe des deux composantes de vos cystites (infectieuse et inflammatoire)
      En parallèle, une « rationalisation » des prises antibiotiques serait plus que souhaitable.

      Très concrètement, ce conseil se traduit de la manière suivante :
      -> Un premier cycle de 15 jours avec :
      – Ausilium NAC : 1 flacon, matin et soir, loin des repas
      – Ausilium 20 PLUS : 1 sachet, milieu de journée, loin des repas

      -> Une phase de maintien / prévention successive de 4 semaines avec :
      – Ausilium NAC : 1 flacon par jour, loin des repas
      – Ausilium Forte : 1 mesurette rase, 1 à 3 fois par jour, loin des repas

      -> En parallèle de ces mesures, une intervention ciblée contre la dysbiose vaginale avec :
      – Ausilium Lavanda: 1 application, 1 jour sur 2, la première semaine; puis 1 application par semaine les 4 semaines suivantes
      – Lenicand Crema: 2 applications par jour la première semaine; 1 application par jour la deuxième semaine; puis 1 application par jour ou moins selon le besoin les semaines suivantes
      – Lenicand: 1 comprimé, matin et soir, 30 minutes avant les repas, pendant 2 mois

      Ces deux solutions répondent donc parfaitement à votre situation et vos exigences :
      https://www.deakos.fr/kitdettaglio.php?tid=120&kit=1
      https://www.deakos.fr/kitdettaglio.php?tid=126&kit=1

      Reply
      • Aurélie
        14 juin 2020

        Bonjour, je te remercie pour tes conseils. Je souffre pratiquement tous les mois d’une infection urinaire à E.coli. je pense qu’elles me sont provoquées par les rapports sexuels. Et puis il faut dire aussi que j’ai une alimentation assez sucrée 🙁
        J’ai regardé le site de Deakos. Peux-tu me dire la différence entre le Ausilium NAC et le Ausilium Forte stp ? Car pour le NAC ils disent qu’en phase d’attaque il faut prendre le traitement pendant 4 a 6 semaines. Seulement il n’y a que 20 comprimés ! Si j’en prends 2 par jour une boîte ne fera que 10 jours. En gros pour faire un traitement complet il faudrait que j’en achète au moins 15 boîtes :-O
        Donc je me dis que ça serait peut-être plus simple si je prenais le pot de 300g a 98€ du Ausilium Forte non ?
        Merci
        Aurélie

        Reply
        • Mary
          21 août 2020

          Merci pour cette réponse Aurélie et toutes mes excuses car elle m’avait totalement échappée (je réponds donc très tardivement) 🙁

          Voici un descriptif succinct des produits :

          -> Ausilium NAC

          Ausilium NAC est un complément alimentaire prêt à l’emploi qui se présente sous forme liquide en flacon monodose de 10ml. Sa prise ne nécessite ni eau ni préparation spécifique mais vous pouvez choisir de diluer le flacon dans un verre d’eau.
          Ausilium NAC est formulé spécifiquement pour lutter contre les cystites récidivantes dans lesquelles est impliqué un biofilm bactérien. Ce mucus, fabriqué par les bactéries pathogènes, a deux actions:
          – servir de “carapace” aux germes pour les protéger contre les défenses immunitaires physiologiques et contre les traitements antibiotiques (les rendant ainsi inefficaces)
          – relâcher périodiquement des germes pathogènes dans la vessie, créant ainsi de nouvelles infections urinaires
          La présence d’un biofilm peut donc donner l’impression de faire des cystites récidivantes quand, en réalité, il s’agit de la même infection qui se représente cycliquement.
          De plus, le biofilm rend les thérapies antibiotiques inefficaces et favorise la proliférations de bactéries toujours plus résistantes.

          Ausilium NAC contient:
          – de la N-Acétylcystéine qui va agir sur le biofilm en provoquant sa dissolution
          – du D-Mannose qui va :
          1) agir sur les bactéries pathogènes libérées dans la vessie lors de la dissolution du biofilm. Il va aller se lier avec leurs lectines (petits hameçons qui leurs permettent d’adhérer à la muqueuse vésicale) pour inhiber leur adhésion à la muqueuse vésicale. Le complexe bactérie/d-mannose sera ensuite simplement expulsé vers le milieu extérieur avec le flux urinaire
          2) agir sur la muqueuse vésicale en créant un film protecteur à sa surface luttant ainsi contre l’inflammation et favorisant la réépithélisation
          – de la Lactoferrine qui va inhiber les éventuelles levures pathogènes en présence

          Il est vrai que Ausilium 20 PLUS et Ausilium Forte sont deux produits qui se ressemblent et peuvent être, au besoin, interchangeables.

          Voici quelques éléments qui vous permettront de cibler au mieux lequel des deux vous convient.

          Leurs points communs :

          – Ausilium 20 PLUS et Ausilium Forte contiennent tous les deux de la Morinda citrifolia dans les mêmes proportions.
          Ce principe actif a une grande importance en raison de son action fortement anti-inflammatoire et immunostimulante qui va agir sur la muqueuse vésicale pour diminuer la symptomatologie ouloureuse liée à l’inflammation et qui va stimuler les défenses immunitaire physiologique.

          – Ausilium 20 PLUS et Ausilium Forte contiennent tous les deux du D-Mannose à raison de 1000mg (1 gramme) par dose (1 sachet pour Ausilium 20 PLUS, une mesurette rase pour Ausilium Forte).
          Ce dosage est le fruit d’une synthèse que nous avons faite entre les études, publications scientifiques et essais cliniques sur cette molécule et ses effets, et les retours d’expériences de nos clients et médecins-conseils. En effet, un apport de 1 gramme de D-Mannose à chaque prise s’avère utile et efficace tant en prévention que face à un épisode de cystite aigu. De plus, ce dosage permet de réduire le nombre de prises quotidiennes en cas d’épisode aigu au cours desquels l’importante concentration bactérienne requière un apport majorée en D-Mannose.

          Leurs différences :

          – Le principe actif alcalinisant contenu dans Ausilium 20 PLUS (potassium bicarbonate) est différent de ceux de Ausilium Forte (calcium glycérophosphate) pour la même efficacité d’action sur le contrôle du pH urinaire et une indication de prise conseillée pour l’un comme pour l’autre en cas d’hypertension artérielle.

          – Ausilium Forte contient un neuromodulateur naturel pour une action bénéfique sur la fréquence et l’urgence mictionnelle.

          – Ausilium Forte contient un myorelaxant naturel (magnésium) pour une action bénéfique sur les douleurs liées aux contractures pelviennes.

          – Ausilium 20 PLUS est en sachet ce qui permet de l’emporter avec soi plus facilement pour une prise la plus proche possible des premiers symptômes de cystite. Cet aspect est important car la rapidité d’action est un facteur déterminant dans la résolution d’une cystite débutante.

          – Ausilium Forte est en pot de 150 ou 300g (avec doseur fournit) et offre donc un excellent rapport quantité-prix.

          – Ausilium Forte peut être dosé « sur mesure » en fonction de la symptomatologie. En effet, une mesurette rase apporte 1000mg de D-Mannose ce qui permet des prises équivalentes à ½ mesurette dans les phases de maintien, en l’absence de symptomatologie douloureuse.

          -> D-Mannoro

          Le D-Mannoro est un complément alimentaire orosoluble (poudre sublinguale) contenant uniquement du D-Mannose. Ces caractéristiques en font un produit:
          – extrêmement pratique puisqu’il peut être pris, à n’importe quel moment de la journée, sans eau
          – offrant une action très rapide car la formulation orosoluble permet au D-Mannose d’arriver plus rapidement dans la vessie.

          D-Mannoro est particulièrement indiqué :
          – en cas de cystite post-coïtale pour une prise prophylactique juste après un rapport
          – en cas de diarrhée, fragilité intestinale ou syndrome du colon irritable
          – pour les infections urinaires mettant en jeu Pseudomonas
          – chez les sujets souffrants de pathologie auto-immune
          Il est également intéressant chez les personnes souffrant d’infections urinaires chroniques qui, connaissant bien les “signaux” d’une cystite aigue débutante, peuvent agir immédiatement avec D-Mannoro pour réduire rapidement la charge bactérienne et ainsi diminuer efficacement la durée et l’intensité de l’épisode.

          Reply
  • Carlota
    17 mars 2019

    Bonjour,

    Tout d’abord un énorme merci pour votre blog, qui redonne ESPOIR.
    Personnellement, j’ai 24 ans et je souffre de “cystite à répétition” depuis maintenant 4 ans..
    La bactérie je la connais : E.Coli
    La causé également : les rapports sexuels exclusivement.

    Sur vos bons conseils, qui m’ont vraiment convaincu, je m’apprête à commander sur le site Deakos certains produits, et je voudrais être sûre d’avoir bien compris.
    – La crème Ausilium avant le rapport à titre préventif
    – Ausilium NAC et Ausilium 20 PLUS en cas de crise

    est-ce bien cela ?

    Mille merci par avance

    Reply
    • Mary
      18 mars 2019

      Merci pour ce commentaire Carlota 🙂

      Votre problématique de cystites récidivantes post-coïtales inclus donc un facteur précipitant clairement identifié : le rapport sexuel qui favorise l’entrée des germes uropathogènes dans la vessie (par migration ou remontée).
      https://cystiteetcompagnie.fr/index.php/2018/03/30/cystite-post-coitale-peur-lendemain/

      Il semble néanmoins utile de préciser que, dans ce type de situation, il pertinent d’investiguer plus à fond sur les cofacteurs possibles conduisant aux récidives. En effet, le rapport sexuel est souvent la partie émergée de l’iceberg = évènement qui fait basculer une situation latente vers un épisode aigu. Il convient donc de comprendre quels sont les facteurs prédiposants en jeu dans votre problématique pour pouvoir également intervenir dessous afin de les éradiquer et prévenir efficacement et durable les rechutes et récidives.
      https://cystiteetcompagnie.fr/index.php/2018/08/10/cystite-elle-part-je-reste/

      Un facteur prédiposant très probable lorsque l’on parle de récidives qui persistent depuis plus de 6 mois est la présence du biofilm pathogène qui soutient la persistance et chronicité des infections à E. coli malgré les thérapies utilisées. Il est donc particulièrement conseillé, dans une phase initiale, de chercher à désagréger la matrice polysaccharidique du biofilm pour éliminer les pathogènes les plus persistants et, ainsi, éradiquer le foyer infectieux latent.
      https://cystiteetcompagnie.fr/index.php/2018/03/30/biofilm-scenario-de-guerre/

      Parmi les autres facteurs prédiposants possibles on citera :
      – La contraception
      – La ménopause
      – La dysbiose vaginale
      – Les IST/MST
      – Les troubles du transit (constipation, diarrhée…)
      – L’infection du partenaire
      – L’usage d’un soin de toilette intime inadapté
      https://cystiteetcompagnie.fr/index.php/2018/11/09/mecanismes-de-la-cystite-post-coitale-et-pistes-de-prevention/

      Pour ces raisons, dans un contexte de prise en charge globale et naturelle, il serait utile de faire un point plus complet sur le statut de la sphère uro-génital + digestive (en accord avec votre médecin) :
      – Prélèvement vaginal (avec recherche spécifique pour Chlamydia et Mycoplasme / Ureaplasme)
      – Prélèvement urétral (avec les mêmes recherches spécifiques)
      – ECBU + spermoculture du partenaire
      Les éléments issus de cette « enquête » permettront sans doute d’éliminer des causes sous-jacentes possibles pour concentrer l’approche prophylactique naturelle sur les « vraies » causes des épisodes aigus.

      Avec les éléments actuels, je me permets toutefois de vous proposer un schéma posologique de première intention en prévention contre les récidives :
      -> Un premier cycle de 15 jours avec :
      – Ausilium NAC : 1 flacon, matin et soir, loin des repas
      – Ausilium 20 PLUS : 1 sachet, milieu de journée, loin des repas

      -> Une phase de maintien / prévention successive avec :
      – Ausilium Forte : 1 mesurette rase, 1 fois par jour, loin des repas en phase « de croisière » / 3 fois par jour les 3 jours suivants chaque rapport

      -> En parallèle de ces mesures, une intervention ciblée sur le facteur précipitant de vos cystites avec :
      – Ausilium Crema : 1 application avant chaque rapport et, si nécessaire, après
      – D-MannOro : 1 sachet, après chaque rapport

      NB : je vous suggère d’envoyer un mail (infofrance@deakos.com) pour obtenir un devis personnalisé poru une commande correspondante à ces suggestions (et avoir une remise 😉 ).

      Concernant la prise en charge d’un éventuel épisode aigu, je vous renvoie à la lecture de cet article qui vous donne une marche à suivre complète : https://cystiteetcompagnie.fr/index.php/2018/08/03/que-faire-en-cas-de-cystite-aigue/
      + cette Solution Deakos 😉 https://deakos.fr/kitdettaglio.php?tid=51&kit=1

      De tout cœur avec vous <3

      Reply
  • Nathou
    14 novembre 2018

    Bonjour Mary,
    mon fils de 10 ans qui souffre d’épilepsie réfractaire liée à un syndrome génétique, fait depuis 2 ans des infections urinaires à répétition. Ou plutôt disons qu’il souffre d’infection continue. Je m’explique. Au début il faisait des infections urinaires (attention chez lui ce ne sont pas “juste” des douleur urinaires, elles entraînent un état de mal épileptique, que les médecins voudraient traiter en le mettant en coma artificiel, impossible de leur faire comprendre que le problème vient de cette fichue bactérie) qui passaient avec des antibios. Puis il a vite commencé à ne plus répondre aux traitements par ATB. Le problème étant que maintenant même sans symptôme d’infection (fièvre…c’est le seul symptôme que je peux constater car il est adorable et ne se plaint jamais), il est mal. Les ECBU sont parfois positives, mais la plupart du temps elles sont négatives. Nous avons pris Ausilium NAC pendant 6 mois avec une nette amélioration avec qq rechutes (normal puisque désagrégation du biofilm–>d-mannose pur ajouté) dont une très grosse infection il y a 1 mois 1/2 mais avec cette fois-ci un protheus mirabillis sensible aux ATB sauf à la Furadantine (prescrite pendant des mois par la néphrologue…). Nous avons donc légitimement cru à une éradication totale du biofilm et ce coup-ci de la bactérie. Nous avons arrêté le NAC et le d-mannose, et il a de suite été à nouveau mal. Nous avons repris l’Ausilium NAC, le d-mannose mais là plus d’effet. Je lui donne du 2LEID prescrit par un médecin homéopathe pour renforcer son système immunitaire. Je vais tenter des tisanes busserole, bruyère…
    Pouvez-vous m’aider à y voir plus clair svp ? Je ne sais plus quoi faire pour le soulager et l’incompréhension des médecins fait que je n’ai d’autres recours que de me débrouiller par moi même.
    Merci d’avance pour votre aide.
    Nathalie

    Reply
    • GiGi
      7 décembre 2018

      Coucou ma belle !
      Ecoutes c’est moi qui vais te répondre parce que Mary est over-bookée en ce moment et ton commentaire (merci de l’avoir fait 😉 ) a déjà pas mal attendu. En plus c’est pas drôle ce que tu racontes, pauvre petit bout… alors j’imagine (et j’espère) que mon avis pourra venir éclairer ta lanterne.
      D’abord je voulais te dire un truc de « maman » (j’ai moi aussi des enfants) : quel que soit ta décision pour lui, c’est forcément une BONNE chose. Tu lui a donné la vie, alors tu es la mieux placée pour savoir ce dont ton enfant a besoin.
      Après pour ce qui est de ta question je te donne mon point de vu :
      – Si Auslium NAC lui a déjà fait du bien, il y a fort à parier que le biofilm était là et il est possible qu’il revienne ou qu’il n’ait pas été totalement détruit la première fois. Le biofilm est une « sale bête » qui est parfois très coriace a délogée, il faut parfois insister un peu pour en venir à bout !
      – Si tu as eu un effet très bénéfique avec Ausilium NAC + D-mannose, je te conseillerais de recommencer mais sans cet autre produit dont tu parles. Je ne le connais pas mais il « désactive » peut être qqch, en tout cas il n’était pas là dans ton premier protocole qui avait donné de bons résultats, du coup à ta place j’essaierai de reproduire à l’identique ce protocole ni plus, ni moins.
      – Surtout pas de busserole ! C’est comme jeter de l’huile sur le feu (lis cet article : http://cystiteetcompagnie.fr/index.php/2018/03/30/cranberry-faux-ami-de-cystiteuse/ )

      Pleins de bisous à toi et ton fils, vous êtes de warriors !!!

      Reply
  • Ju
    21 juillet 2018

    Bonjour,
    Je suis très heureuse de trouver ce site. Je fais des infections urinaires à répétition, depuis peu mes résultats d’ecbu n’indiquent pas forcément de germes. Je viens de découvrir l’existence du biofilm et je me dis que c’est certainement ce à quoi je suis confrontée. Même quand je n’ai pas d’infection, j’ai des douleurs/brûlures et ma vessie ne se rétablit jamais vraiment.
    Ce site me redonne espoir !
    J’ai une petite question : si j’ai bien lu il est conseillé dans mon cas de prendre Ausilium NAC et du D-mannose? Ou Ausilium NAC contient-il en plus déjà du D-mannose?
    Est-il possible d’acheter ces produits sans ordonnance ou faut-il une prescription?
    Merci beaucoup par avance

    Reply
    • Mary
      23 juillet 2018

      Bonjour Ju et ravie que ce blog vous redonne le sourire et du courage 😀
      Je me permets de répondre à votre message avant GiGi en vous livrant quelques éléments de réflexion :
      1) Comme vous l’avez parfaitement compris, la récidivité des cystites associée à des ECBU contradictoires (tantôt positifs, tantôt négatifs et ; parfois même, faisant apparaitre des souches bactériennes différentes) sont autant d’indices pouvant indiquer la présence d’un biofilm pathogène.

      2) La présence d’une symptomatologie résiduelle entre les épisodes aigus (douleurs / brulures dans votre cas) peut être la résultante de deux facteurs :
      -> La présence même du biofilm qui, en raison de sa nature, constitue un facteur « pro-inflammatoire » pour l’urothélium ( = paroi vésicale)
      -> Une chronicisation de l’inflammation urothéliale suite aux nombreux épisodes aigus et thérapies antibiotiques

      3) Afin d’entreprendre correctement une approche préventive complète visant à éliminer durablement la cystite, il conviendrait également d’encadrer d’avantage le contexte de survenue des épisodes aigus. C’est-à-dire d’identifier les facteurs prédisposants (biofilm certainement) et précipitants qui conduisent au déclenchement d’une cystite. En effet, la stratégie prophylactique, pour être efficace, devrait être adaptée à chaque cas et spécifiquement ciblée selon ces facteurs.
      Ce point reste indéfini dans votre témoignage : connaissez-vous les causes de vos cystites ?

      En conclusion, je vous conseillerais les points suivants :
      1) Une première intervention visant à l’élimination de la matrice polysaccharidique du biofilm et à l’expulsion naturelle des germes uropathogènes qu’il renferme afin d’éradiquer le foyer infectieux latent. Concrètement, cela correspond à un cycle de 15 jours avec Ausilium NAC 2 flacons par jours (qui associe effectivement n-acétylcystéine + D-mannose + lactoferrine + morinda citrifolia) et Ausilium 20PLUS 1 sachet par jour (D-mannose + morinda citrifolia + alcalinisant urinaire).

      2) Prolonger ensuite avec une prise quotidienne constante de Ausilium (20PLUS ou Forte) afin de garantir une présence permanente de D-mannose dans les voies urinaires afin d’inhiber et élimination les germes uropathogènes dès leur arrivée dans la vessie.

      3) Il conviendra également, en fonction des facteurs prédiposants et précipitants de vos épisodes aigus, de mettre en œuvre des mesures plus spécifiques pour une action préventive ciblée afin d’empêcher l’arrivée des germes dans la vessie (par exemple : l’emploi de Ausilium Crema au moment des rapports ; la prise de D-MannOro après un bain de mer….etc).

      4) Enfin, il est important de prendre en considération la forte composante inflammatoire de votre symptomatologie et d’y apporter une réponse ad hoc qui s’articulera autour de deux axes :
      -> Limiter au maximum des agressions faites à la muqueuse vésicale :
      – régime alimentaire adapté pour réduire l’acidité urinaire
      – hydratation abondante pour diluer correctement les urines
      – mictions régulières et complètes pour lutter contre la stase urinaire
      – éviter les oxydants tels que tabac, alcools, aliments fumés et produits de salaison (charcuteries…)
      -> Soutenir et favoriser la réépithélisation urothéliale au travers une action directe en faveur de la couche des GAG (glycosaminoglycanes = couche protectrice en superficie de l’urothélium) et contre l’inflammation grâce à la prise de Cistiquer

      Tous ces produits sont en vente libre, sans ordonnance et disponible :
      – Directement sur le site Deakos : https://deakos.fr/index.php
      – En boutique « diététique Désir et Poyet » à Paris

      Reply
      • Ju
        24 juillet 2018

        Bonjour Mary, merci infiniment pour avoir pris le temps de me répondre !:D
        Je vous avais écrit ce midi également, comme ma réponse ne figure pas sur le site, je me dis que je n’ai pas dû valider mon message comme il fallait.
        J’ai 26 ans et j’ai fait ma première cystite il y a plus d’un an. Je n’en avais jamais fait auparavant. Depuis je ne peux m’en débarrasser. Je me souviens que ce jour-là j’avais très soif, que j’avais peu bu et qu’il faisait très chaud. Maintenant je bois beaucoup d’eau et suis également tous les autres conseils que les médecins m’ont donnés. Malgré tout je fais des cystites avec toujours le même germe E. coli. Parfois comme je vous l’avais dit, il n’y en a pas.
        J’ai du mal à déterminer la cause. Il m’arrive d’avoir une cystite après un rapport mais ce n’est pas systématique. Je vais bien aux toilettes après chaque rapport. Mes cystites surviennent de manière assez aléatoire.
        Merci pour vos conseils, je ne fume pas et bois très peu d’alcool, je compte faire le régime, j’ai acheté du papier pH pour contrôler mes urines.
        J’avais commandé les boîtes Ausilium 20 plus et Ausilium NAC, elles sont arrivées ce matin. Sur la bôite Ausilium 20 plus il est écrit de prendre deux sachets par jour. Il est préférable de n’en prendre qu’un seul ?
        Faut-il diluer les fioles d’Ausilium NAC ou faut-il les prendre pures ?
        Je compte également acheter Auxilium Crema : cela s’utilise comme un lubrifiant ?
        Je prendrai, après avoir pris Auxilium Nac pendant 15 jours, Cistiquer 🙂
        Et est-il suffisant de prendre Auxilium NAC pendant 15 jours ?

        Merci encore pour tout, excusez-moi pour toutes ces questions mais je ne veux pas faire de bêtises.
        Très bonne soirée à vous !

        Reply
        • Mary
          25 juillet 2018

          Bonjour Ju et merci pour cette réponse 🙂

          Vos questions sont plus que légitimes 😉 et voici quelques éléments de réponse :

          1) Concernant le contexte de survenu de votre première infection urinaire
          Vous décrivez ici parfaitement un « concours de circonstances » typique de la cystite « accidentelle » : chaleur + faible hydratation = forte concentration des urines qui sont alors devenues un milieu propice à la prolifération de germes qui, en temps normal, auraient été pris en charge par vos défenses immunitaires et éliminés avec les urines sans aucun signes ni symptômes.
          En effet, nous sommes constamment en contact avec des bactéries potentiellement uropathogènes mais, dans des conditions physiologiques d’immunocompétence et de concentration urinaire souhaitable, ces germes restent sous contrôle et ne provoquent pas d’infection.
          Dans votre cas, on peut donc s’interroger sur la prise en charge médicale qui a été faite lors de ce premier épisode aigu et sur son incidence dans cette chronicisation brusque de la problématique. Quelle thérapie avez-vous suivie (s’agissait-il d’une monodose) ?

          2) Le cadre aléatoire de votre problématique est effectivement troublant
          Toutefois, il coïncide bien avec une imbrication de facteurs prédisposants et précipitants qui sont ceux déjà évoqués :
          -> Présence du biofilm pathogène
          -> Cystite post-coïtale
          En ce sens, votre approche semble être la bonne 🙂

          3) Concernant l’usage des produits, je vous conseillerais effectivement le schéma suivant :
          Les 15 premiers jours :
          Ausilium NAC : 1 flacon, matin et soir
          – Ausilium 20PLUS : 1 sachet, 1 à 2 fois, en milieu de journée
          Les 4 à 6 semaines suivantes :
          – Ausilium 20PLUS (ou Forte car dans votre cas ils sont équivalents) : 1 dose, 2 fois par jour en rythme « de croisière » à augmenter à 3 / 4 fois par jour les lendemains de rapport et en cas de situations « à risque » (augmentation de la symptomatologie ou évènements potentiellement précipitants tel que manque d’hydratation, bain de mer ou piscine…)
          – Ausilium Crema qui s’utilise effectivement comme un lubrifiant et s’applique jute avant chaque rapport et, si vous en avez besoin, après (après la toilette intime) pour apaiser
          – D-MannOro : 1 sachet après chaque rapport pour augmenter rapidement et efficacement la concentration en D-mannose dans la vessie afin d’être en mesure d’éliminer les germes uropathogènes pouvant y être entrés lors du rapport

          4) Dans votre cas, la prise de Cistiquer semble pour l’instant prématurée puisque les cystites apparemment abactériennes sembleraient, en réalité, liées à la présence du biofilm. Cette option devrait donc être évaluée plus en avant (je dirais d’ici 1 mois).

          5) Concernant la désagrégation du biofilm et la pertinence de renouveler ou non les cycles de Ausilium NAC, je vous invite à lire cet échange qui répondra sans doute à vos interrogations 😉 http://cystiteetcompagnie.fr/index.php/forum/faq/combien-de-temps-faut-il-pour-eradiquer-un-biofilm-bacterien/

          Reply
          • Ju
            25 juillet 2018

            Merci beaucoup à vous 🙂
            Je vais mettre en application tout ce que vous m’avez conseillé !
            J’avais effectivement dû prendre un antibiotique monodose, alors que j’avais beaucoup de sang dans mes urines. Un autre médecin m’avait dit que j’aurais dû avoir un autre traitement, finalement je ne sais pas tellement ce qui aurait été mieux.
            Depuis cette grosse infection j’ai régulièrement mal à la vessie même quand je n’ai pas d’infection.
            Je fais en effet parfois des cystites sans bactéries avec un taux très élevé de leucocytes, mais j’ai également constaté que beaucoup des infections urinaires que j’ai pu faire par la suite contenaient peu de bactéries. Par rapport à la première. J’ai lu que ma vessie était certainement devenue hyper sensible et c’est pourquoi je pensais prendre Cistiquer par la suite. Etes-vous d’accord avec le fait que l’on puisse être plus sensible et développer des symptômes là où d’autres n’en développeraient pas ?
            Je vais déjà prendre Ausilium NAC et Ausilium 20 plus et D-MannOro dans certains cas, surveiller mon alimentation et voir comment tout cela évolue !

          • Mary
            27 juillet 2018

            La dite « hyper sensibilité vésicale » (connue également comme hyperactivité ou instabilité de la vessie) est effectivement un syndrome qui résulte souvent d’une situation de départ mal prise en charge (thérapie non adaptée, infection urinaire non traitée…) avec pour conséquences :
            1) Un dommage collatéral important des GAG ( = glycosaminoglycanes) -> couche supérieure protectrice de l’urothélium qui assure, dans des conditions physiologiques, un ligne de défense mécanique et biologique contre les agents infectieux et les irritations (acidité urinaires, déchets présents dans les urines, radicaux libres…).
            Lorsque les GAG sont altérés, des modifications habituelles des conditions du milieu intra-vésical deviennent tout à coup des facteurs précipitants d’une symptomatologie typique.
            A titre d’exemple : une carence hydrique ou un régime alimentaire plus acidifiant peuvent provoquer un épisode d’urgence et fréquence mictionnel de quelques heures.
            De la même manière, dans ces conditions, une présence bactérienne infime et donc habituellement prise en charge par l’immunité physiologique, peu rapidement évolué vers une infection urinaire aigue.
            2) La formation d’un biofilm pathogène dont la présence même en superficie ou dans les couches plus profonde de la muqueuse vésicale, constitue un facteur pro-inflammatoire et un foyer infectieux latent prêt à précipiter brusquement et rapidement vers une situation aigue.
            Pour toutes ces raisons, il est évident que des inégalités individuelles existent face à la stabilité vésicale. Toutefois, ces inégalités peuvent se « gommer » pour revenir à une situation physiologique par la mise en œuvre des mesures préventives ad hoc (évoquées ci-dessus 😉 ).

    • Boop
      23 juillet 2018

      Bonjour Ju,

      Lorsque vous faisiez vos cystites à répétition, quelles étaient les conclusions de vos ECBU, y avait-il un germe qui était identifié, et un antibiogramme était-il effectué ?
      Peut-être qu’une bactérie résistante a fait son “nid”, en n’étant pas éradiquée totalement, et l’idée qu’il y ait un biofilm est intéressante.
      Qu’entendez-vous par “ma vessie ne se rétablit jamais vraiment ” ? avez-vous des douleurs vésicales, de quel type ?
      Avec toutes ces cystites et ces douleurs résiduelles et persistantes, votre médecin traitant vous a t-il orientée vers un(e) urologue ?
      Ce serait bien d’avoir quelques données pour vous répondre sans dire de bêtises.
      A bientôt.

      Reply
      • Ju
        24 juillet 2018

        Bonjour Boop, merci pour votre message 🙂
        Oui pour ma part c’est toujours le même germe : E. Coli. Je prends donc régulièrement des antibiotiques, mais cela revient.
        Et dernièrement j’avais un ECBU sans bactéries mais énormément de leucocytes.
        Quand j’ai lu les documents sur le biofilm je me suis vraiment dit que ça pouvait être ça.
        Concernant ma vessie c’est difficile à expliquer. Je sens que ça me brûle parfois, que je suis irritée. Mais ce n’est pas la même douleur que pendant une infection urinaire.
        J’ai consulté un urologue, mais hélas il ne semblait pas concerné. Il m’a dit que beaucoup de femmes avaient ce genre de problèmes, qu’il fallait boire de l’eau être patiente et prendre de la canneberge. Mais cela n’a pas fonctionné!

        Reply
  • Amelie
    14 juillet 2018

    Bonjour, j’ai acheté Ausilium forte. Je suis actuellement sous antibiotiques pendant 5 jours pour une cystite et je voudrais savoir si je peux également prendre Ausilium en même temps. Une fois mon traitement finit, je compte continuer Ausilium pendant 2 mois que je prendrais comme cure d’entretien que je renouvellerai plusieurs fois par an.

    Reply
    • Mary
      20 juillet 2018

      Bonjour Amélie 🙂

      Concernant la compatibilité de Ausilium avec la thérapie antibiotique, la réponse est oui 😀 Vous trouverez tous les détails ici

      Si vous souffrez de cystites récidivantes, prolonger la prise de Ausilium est une excellente idée pour garantir une présence constante de ses principes actifs de manière prophylactique dans les voies urinaires. Toutefois, il conviendrait d’associer cette intervention préventive “basale” à d’autres mesures ciblées spécifiquement sur les facteurs prédiposants et précipitants de vos épisodes aigus pour garantir une approche efficace et durable. Connaissez-vous l’origine de vos cystites?
      A titre d’exemple:
      – biofilm bactérien
      – troubles du transit : constipation et/ou diarrhée
      – rapports sexuels
      – prise d’antibiotiques
      – présence d’une dysbiose vaginale (vaginite, mycose, vaginose bactérienne)
      – cycle hormonal
      – contacts répétés avec une eau contaminée (ex: piscine)
      – irritation importante de la muqueuse (cystites abactériennes)
      – apport hydrique insuffisant
      – vidange vésicale incomplète
      – hygiène excessive
      – froid / la saisonnalité
      – pratique de certains sports

      Reply
      • Pauline
        7 décembre 2019

        Bonjour. La pratique de quels.sports est déconseillée ? Merci

        Reply
        • Mary
          19 décembre 2019

          De façon globale tous les sports et les activités qui sollicitent la musculature pelvienne: pilates, spinning, vélo, équitation, musculation, soulever des poids…

          Reply
  • Soso4
    11 juillet 2018

    Bonjour,
    D’abord mille merci pour ce site que je cherchais depuis longtemps faisant partie malheureusement de cysticiennes.
    J’ai découvert le d-manose depuis qq mois alors que je souffre de récidive de cystite depuis …. presque 20 ans .
    J’aimerai trouver enfin une solution à ce problème qui me pourri la vie et notamment ma vie sexuel car mes cystites sont toujours déclenchées suite à un rapport donc difficile de ne pas associer rapport à cystites…
    Il faut aussi que je précise qu’une autre maladie fait partie de ma vie depuis 8 mois : la RCH (recto colite hémorragique) .
    J’ai fait le tour du site deakos et j’avoue être un peu perdue. Je trouve qu’il y a beaucoup de produits qui correspondent à mon problème donc je ne sais pas lequel prendre et sous quelle fréquence et posologie pour instaurer un plan prévention.
    Je veux absolument stopper la prise d’antibiotiques fréquente, actuellement une fois par mois. Je pense que la RCH n’a fait qu’empirer le problème sûrement dû à un problème d’anticorps ??
    J’espère ne pas avoir été trop longue et trouver une solution durable !
    Je vous en remercie vivement d’avance en tout cas !

    Reply
    • Boop
      5 octobre 2018

      Bonjour Soso4,

      Puis-je me permettre de vous demander quel traitement vous prenez pour votre RCH, et, si ce n’est pas indiscret, comment se manifeste la maladie ?
      Le d-mannose, (d-mannoro, à prendre après un rapport; ausilium 20 ou ausilium Forte, qui sont à prendre sur la durée, 1 cuillère rase le matin et 1 le soir, 1heure avant le repas ou 2 heures après) est un produit qui permet aux bactéries (invisibles à l’ECBU) d’être évacuées. Le d-mannose (vous en avez peut-être entendu parler, du moins on commence à en parler) est un sucre (mais pas un sucre comme on le connait) qui attire les bactéries, sur lequel elles s’accrochent, de sorte qu’en urinant, il les emporte avec lui.
      A t-on trouvé l’E.Coli dans vos urines, l’a t-on cherché ? Il est possible que vous ayez un biofilm. Il serait intéressant de commencer par la prise de d-mannose, sur une période d’1 ou 2 mois. Pensez peut-être à utiliser l’ausilium crema, après chaque rapport, et l’ausilium lavanda, qui permet de restaurer la flore vaginale. Vous pouvez aussi utiliser des ovules de probiotiques que vous avez peut-être chez vous. Vous avez “géliofil”, “physioflor”, “gynophillus”, vous en avez à prendre oralement : “fémibion” ou “physiofor oral”. L’ausilium lavanda est une “douche vaginale”. Au départ, je ne connaissais pas du tout, et je m’en faisais une image assez effrayante. d’ailleurs, en cherchant sur le net par les mots “douches vaginales”, je ne trouvais rien, comme s’il s’agissait d’un savoir évident ! moi, je me suis imaginé quelque chose de violent, un jet propulsé dans une zone aussi intime, j’ai eu peur. En réalité, il s’agit d’une petite canule à introduire, de la même façon que pour les pipettes d’autres produits (géliofil par exemple), en un peu plus gros mais ça reste petit! au bout duquel il y a un flacon que l’on presse, tandis que l’on est au-dessus des toilettes ou dans la douche, en position accroupie. Le liquide est ainsi “propulsé” au niveau vaginal, il resort, car c’est un liquide, on le laisse sortir, le produit a le temps d’imprégner la zone. Je l’ai découvert et il m’a beaucoup soulagée. La creme ausilum crema aussi.
      Si, après avoir expérimenté le d-mannose (ausilium 20 ou forte), vous avez encore des antibiotiques à prendre, il serait peut-être envisageable d’essayer le NAC, qui va détruire un éventuel biofilm. Mais il sera temps d’en parler davantage si vous le souhaitez.
      En espérant avoir été à peu près claire !
      A bientôt.

      Reply
  • Sophie
    11 juillet 2018

    Bonjour,
    Je fais également des cystites à répétition. J’ai essayer le d mannose pour traiter une crise en prenant 3 comprimés toutes les 3 heures. Cela m’a bien soulagé mais le cbu a quand même conclue à un escherichia Coli mais 10 puissance 4 au lieu de 5 habituellement. Je suis donc sous antioxydant pour cette crise mais j’ai maintenant la certitude de son efficacité.
    Maintenant il faut que je trouve la dose pour l’utiliser en préventif et non en curatif.
    Le labo (apoticaria) me conseille 3 comprimés par jour pendant 2mois. Ce qui fait un budget mais je souhaite avant tout me sortir de cet enfer.
    Je précise que je fais environ une crise tous les mois toujours à la suite de rapport mais pas systématiquement.
    Je précise aussi que je suis atteinte d’une RCH modérée (recto colite hémorragique) donc maladie auto-immune et intestins inflammatoires.
    Que pensez-vous de la dose préventive ? Dois je rajouter des comprimés av ou ap les rapports ?
    Merci !!!!!

    Reply
    • Verona
      5 octobre 2018

      En préventif, on recommande généralement 1 G de D mannose le matin et 1 G le soir. Si les crises surviennent après les rapports, le mieux est de prendre du D mannoro directement après le rapport, et continuer avec le D mannose pendant au moins 3 jours ; la posologie est fonction des symptômes ressentis, on peut aller jusqu’à 6 G par jour. Bien respecter les modalités de prise (loin des repas et uriner 1 heure après la prise). Rappelons que le D mannose sous forme de comprimés est moins efficace que celui en poudre

      Reply
  • loetitia lanceron
    3 juillet 2018

    bjr je fais des cystites a repetitions mais il n y a jamais de germes, est ce que ce roduits serait donc efficace pour moi car franchement mon urologue ne peut plus rien pour moi merci de me repondre loeticia

    Reply
  • Boop
    27 juin 2018

    Bonjour,

    Les choses sont plus claires, merci à Mary d’avoir pris le temps de m’expliquer tout ça par téléphone.

    Reply
    • Mary
      2 juillet 2018

      Avec plaisir 😀

      Reply
      • Darmon
        26 décembre 2018

        Bonjour Mary.
        Impossible de vous joindre. Je pense ne pas avoir tous les éléments. Voici mon adresse mail. #modération pour respect de la vie privée
        Merci de me répondre. Bien cordialement. Jeanine. (J44385)

        Reply

Laisser un commentaire