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Mécanismes de la cystite post-coitale

Mécanismes de la cystite post-coïtale et pistes de prévention

La cystite post-coïtale est l’une des typologies de cystite bactérienne les plus répandues, mais elle reste, malheureusement, une problématique tabou pour laquelle il est difficile de trouver des informations et conseils allant au-delà de l’hydratation et l’hygiène.
Cet article se propose de faire un tour d’horizon de l’approche idéale dans ce type de situation.
En effet, en cas de cystite post-coïtale, il convient d’agir sur tous les fronts pour casser le cercle vicieux de la “réinfection / récidive / rechute”.
Ci-dessous vous trouverez 3 possibles pistes de prévention.

Microlésions causées par les frottements
Lors de tout rapport sexuel, même les plus doux, les frottements causent des microlésions à la muqueuse vaginale. Ces minuscules lacérations constituent des “abris” dans lesquels les bactéries pathogènes peuvent “nider”. De cette façon, la muqueuse vaginale devient un “réservoir microbien” source d’infections urinaires récidivantes par remontée ou par migration.
Il est donc indispensable d’utiliser lors des rapports sexuels une crème vaginale contenant :

  • un principe actif lubrifiant, pour limiter les frottements (mais sans limiter le plaisir)
  • du D-Mannose, pour neutraliser les germes uropathogènes immédiatement, avant même qu’elles ne rejoignent l’urètre et la vessie, et pour créer un film protecteur sur la muqueuse empêchant la “nidation” des bactéries
  • un antiinflammatoire naturel, pour soutenir le trophisme et aider la muqueuse à cicatriser rapidement

L’idéal étant d’appliquer cette crème avant et après chaque rapport.

Rapports non protégés
Les rapports non protégés peuvent etre cause de contamination entre partenaires ; l’échange peut se produire dans les deux sens :

  • Lors les bactéries sont présentes dans l’urètre du partenaire, les secrétions prostatiques vont les véhiculer dans le vagin
  • Lors les bactéries sont présentes dans le vagin, elles peuvent remonter dans l’urètre du partenaire, causant ainsi une infection masculine (urétrite ou prostatite), très souvent asymptomatique

Dans les deux cas, le partenaire devient un “réservoir bactérien” source de l’infection post-coïtale puisque, lors de l’éjaculation, son sperme véhiculera de nouveau les bactéries dans le vagin.
Dans le cadre d’une stratégie de prévention l’homme pourra donc :

  • faire un ECBU + prélèvement urétral + spermoculture, pour dépister une éventuelle présence bactérienne dans ses voies urinaires et prostatiques
  • prendre du D-Mannose (1g par jour) en prévention d’un possible échange bactérien ou pour éliminer une éventuelle présence bactérienne déjà installée

Biolfilm pathogène
Quand la cystite devient chronique, il est très probable que la cause soit un biofilm pathogène (dans plus de 80% des cas). Le biofilm est une stratégie des bactéries, qui créent une “carapace” afin de s’isoler du milieu et se protéger des agressions extérieures (leucocytes, antibiotiques et le D-Mannose même). De cette façon, les germes uropathogènes persistent dans le biofilm qui, de temps en temps, s’ouvre pour libérer de nouvelles colonies bactériennes, cause d’une nouvelle infection.
Il est à présent démontré que le biofilm peut se former dans la vessie, dans l’urètre ou même dans le vagin constituant donc un « réservoir bactérien » local. Cette structure est minuscule (invisible lors d’un examen de routine).
Il est donc fondamental de lutter contre ce biofilm par la prise de :

  • N-AcétylCystéine (NAC), acide aminé capable de désagréger la matrice polysaccaridique (capsule externe) du biofilm
  • D-Mannose, sucre capable de se lier avec les agents pathogènes – qui seront libérés lors de la dissolution du biofilm – pour en réduire la pathogénicité et éviter la survenue d’une crise aigue

Si malgré toutes les mesures d’hygiène et les conseils ci-dessus, la cystite se représente à nouveau suite à un rapport, il est possible d’éviter l’antibiothérapie par :

  • la prise sublinguale d’une dose de D-Mannose (D-MannOro) après les rapports, pour garantir la présence de D-Mannose dans la vessie dans les 30 minutes suivant le rapport et permettre d’intercepter les bactéries pathogènes avant qu’elles ne puissent adhérer à la paroi
  • la prise quotidienne de D-Mannose (1g, 2 à 3 fois par jour), pour garantir une présence permanente de ce principe actif dans les voies urinaires afin de prévenir et empêcher l’adhésion et favoriser le détachement des pathogènes éventuellement présents
  • l’application d’une crème vaginale ou d’un gel contenant du D-Mannose  avant et après les rapports

A ces dispositions, il peut être nécessaire d’ajouter d’autres mesures en fonction de la situation :

Vous trouverez une mini-vidéo sur ce sujet :

29 Comments

  • PARISSE
    21 novembre 2022

    Bonjour, hélàs comme beaucoup de femmes dont je viens de lire le témoignage, je souffre également depuis quelques années maintenant de cystite post coïtal. C’est devenu un casse tête et une angoisse après chaque rapport; Sans parler que cela nuit à mon couple physiquement et psychologiquement
    Depuis un moment (des mois) je prends de chez ONATERA le complexe urinaire avec une gélule le matin de cranberry et 1 à midi de prébiotique. J’avoue que cela m’a permis d’espacer les crises.
    Mais malgré toutes les précautions d’usage, ça recommence !
    Je bois un jus de citron tous les matins à jeun, 2 litres d’eau minimum dans la journée… et je suis toutes les recommandations que j’ai pu lire sur le web mais rien n’y fait.
    Je prends aussi après les rapports des capsules d’HE confort urinaire de chez PHYTOSUN;
    Je ne sais plus quoi faire et je m’aperçois sur les échanges que j’ai pu lire qu’il ne fallait pas prendre de cranberry ?
    J’ai aussi longtemps pris tous les matins du D Mannose femanose Cystite en prévention. Je suis en train de tout mélanger en fait et je suis perdue sur ce qui serait bon pour moi.
    Bien sûr je n’échappe pas aux antibiotiques malheureusement que sont les seuls à éradiquer ces foutues bactéries !
    (Je suis aussi jeune femme ménopausée depuis quelques mois et sens une certaine sècheresse vaginale )
    Si vous pouviez m’orienter dans le traitement que je devrais suivre, ce serait très aimable à vous, la médecine générale n’en n’ayant rien à faire.

    Reply
  • Sonia
    22 septembre 2022

    Bonjour,
    J’ai une question un peu ‘bête’ et technique à la fois : quand on parle d’appliquer la crème avant et après rapport….Concrètement on l’applique ou ? Comment et en quelle quantité ? Juste à l’entrée du vagin ? On fait pénétrer ? Les sachets contiennent peu de produits, j’utilise souvent la crème en tube avec l’applicateur mais du coup la crème est diffusé en ‘profondeur’.
    Cela m’a bien soulagé quelques mois (en // de mon protocole d’attaque contre le Biofilm) mais mes cystites ont tendances à réapparaitre alors je cherche ce que je fais de ‘mal’… 😉

    Reply
  • Agnes
    3 juin 2022

    Après 3 ans et demi de cystite a répétition, sans cause réelle, pratiquement tout les mois, on vient enfin de trouve la cause, je rappelle que j’ai toujours la même bactéries c’est a dire le staphylocoque aureus, après plusieurs exactement ect ect divers protocole et j’en passe a mon dernier rdv chez le médecin, j’ai reposé c’est énième question de ou peut provenir cette bactérie car d’après mes recherches c’est une bactérie qui se trouve sur la peau, et bon comme d’habitude elle même ne comprenais pas jusqu’à que je lui redemande si vraiment sa ne pouvais pas venir de mon conjoint car les cystite ce sont déclancher depuis qu’on est ensemble a peut près, et bon elle réfléchit parce qu’elle a vu que cette fois ci j’était vraiment a bout, et elle me dit on peut essayer un test sur lui, normalement c’est un test qu’on fait sur les personnes à qui on va pratiquer une chirurgie pour savoir si il sont porteur d’un staphylocoque pour éviter qu’elle passe dans le sang bref, sur le coup elle était pas convaincu mais elle c’est dit c’est possible qu’il soit porteur sans qu’il est des symptômes, test qu’il a fait semaine dernière et aujourd’hui on a eu les résultats qui s’avère positif, donc tout proviendrait de lui, elle lui a prescrit un antibiotiques, sa devrait rentrer dans l’ordre mais elle m’a dit que c’est pas que que sa marche, mais dans tout les cas on tient une piste, et mon calvaire est sûrement bientôt fini

    Reply
    • Coco
      8 juin 2022

      Chère Agnès,
      Merci pour votre commentaire et vos précisions dans la description de votre parcours de dépistage.
      Vous avez enfin une piste : bravo !

      Bien que la cystite ne soit pas une maladie sexuellement transmissible, dans votre cas elle est apparue suite à un rapprochement de votre partenaire et précisément à cause d’une coïnfection de ce dernier.
      Effectivement il peut arriver que le partenaire soit également infecté par un germe pathogène qui, parfois, ne peut pas être directement et normalement impliqué dans la survenue de la cystite : ici on cite le staphylocoque aureus.
      L’infection du partenaire entraine donc une réinfection de la partenaire au niveau vaginale à cause d’une remontée bactérienne vers la vessie et la prise en charge ciblée de votre partenaire est finalement le bon chemin à suivre.
      Très heureuse pour vous !
      Espérant avoir été utile, je reste à disposition pour toutes questions.
      Coco

      Reply
    • Vero
      27 octobre 2022

      Bonjour
      Comment s’appelle le test fait à votre conjoint ? Merci
      Même problème que vous moi..

      Reply
  • Paulina
    11 août 2021

    Je viens de découvrir votre site et je suis soulagée ! Enfin je trouve des réponses et des solutions autres que les antibiotiques a repetition. Bravo les filles et merci !!!

    Après presque deux ans sans cystite m’y revoilà. Apres un rapport j’ai eu des symptômes très aigus et j’ai couru chez le médecin. Test bandelette positif au leucocytes et prescription d’un antibiotique sur 5jours. A côté de ca je prend de grandes quantités de D-mannose et cranberry pour aider, et je bois du jus de citron, vinaigre de cidre , thym….
    Mais voila au bout de 5 jours rien n’y fait je souffre toujours et j’ai le moral a zero. J’ai peur de repartir dans le cercle infernal des cystites a répétitions .
    J’ai demandé un ECBU à mon médecin pour être sure qu’il n’y a pas de bactéries. Il me reste un jour d’antibio que je vais terminer a contre coeur, mais je refuse d’en prendre un autre a l’aveugle comme me le proposait mon médecin. Je repars juste du voltaren.
    En attendant les résultats je continue le D-mannose (j’ai arrêté la cranberry pour ne pas irriter davantage)et de boire beaucoup de boisons alcalinisantes mais rien ne soulage la douleur…j’ai le moral dans les chaussettes, ca impacte ma vie sociale et amoureuse complètement.

    Reply
  • Gifox
    23 avril 2021

    Bonjour,
    Un immense MERCI pour ce site qui est une belle découverte…que j’attends de faire depuis des années ! Pourtant déjà “calée” en cystite (à l’insu de mon plein gré évidemment…), je découvre non seulement des explications (le biofilm : the découverte de la journée) mais aussi des produits conseillés…alors merci.

    Je vais maintenant partager mon expérience, qui pourra peut-être être utile à certaines. Attention, le pavé qui suit est 1) long et 2) peut-être un peu explicite. Mais je pense qu’on en bave suffisamment pour s’épargner les métaphores et autres euphémismeshttps://cystiteetcompagnie.fr/wp-content/plugins/wp-monalisa/icons/wpml_wink.gif
    En ce qui me concerne, j’ai découvert les joies de la cystite au début de ma vie sexuelle (17 ans). J’ai 24 ans aujourd’hui, et ça reste compliqué, même si ça va mieux.
    Passé un temps, c’était une cystite après chaque rapport…vous imaginez l’angoisse ! Et que ça récidive, et que les antibiotiques me causent des mycoses, et que ça n’en finit plus pendant deux mois pour 1 seul rapport…Stress pendant les câlins, peur du lendemain, diètes alcalines, suppression du sucre, du café et de l’alcool, peur de voyager (et si j’avais une cystite là-bas, comment je fais?!), peur de louper un partiel à la fac en cas de rapport, peur d’être mal pendant la préparation de mon concours de prof, puis peur d’être en arrêt de travail, acuponcture, magnétiseur, huiles essentielles, probiotiques, prébiotiques et cures en tous genres…Bref, ça m’a littéralement pourri la vie pendant quelques années. A tel point que j’en suis arrivée à supprimer tous les facteurs de risques de cystite, tant la souffrance physique et morale était difficile à gérer. Puisque les cystites sont (presque) toujours post-coïtales en ce qui me concerne, nous avons supprimé les pénétrations vaginales pendant plus de deux ans.. Trop de stress, plus d’envie, mon chéri avait trop peur de me provoquer une énième cystite et n’en avait plus tellement envie non plus…Bref : une vie de nonne ! (même si, heureusement, le sexe ne se résume pas à la pénétration !!) Pas de rapports sereins, pas de sucre, pas l’alcool…rien de tout ce qu’on aime https://cystiteetcompagnie.fr/wp-content/plugins/wp-monalisa/icons/wpml_wacko.gif A l’époque, j’avais un stérilet au cuivre, ce qui était considéré comme la meilleure contraception par les différents gynécos et urologues qui m’ont suivies… Pour eux, les cystites sont causées par : des restes d’hymen, un méat urinaire qui n’est pas assez “rentré” dans les chairs et qui subit des frottements lors des rapports, et mon chéri dont la virilité est assez conséquente https://cystiteetcompagnie.fr/wp-content/plugins/wp-monalisa/icons/wpml_whistle3.gif. Leur solution : que j’accouche histoire de dilater la zone…yes!! Pour le magnétiseur, j’ai les intestins enflammés et tout vient de là…En conséquence de ces cystites, une vessie hyper active, impossible de se retenir, en plus de l’hyper vigilance à chaque pipi “est-ce que je sens comme un petit quelque chose ou pas? Si oui, il faut agir vite ! ” …L’enfer pour la moindre sortie “euuuuh ok je veux bien venir mais il y aura un endroit avec des toilettes?… Faut que j’aille aux toilettes…Non je peux pas attendre 20 minutes…oui encore…”…Ou même au travail ! Je suis prof des écoles…parfois obligée de laisser ma classe seule pour courir aux toilettes. En tous cas, pendant les deux ans d’abstinence de pénétration, plus une seule cystite…et une vie plus sereine. Par contre niveau frustration, c’est une autre histoire !

    J’ai enlevé le stérilet au cuivre il y a quelques mois. J’ai terminé mes études, ma situation est enfin stable, je suis beaucoup plus zen…Petit à petit nous reprenons des rapports sexuels avec pénétration et jusqu’ici : OUF, pas de cystite. J’ai longtemps eu l’intuition que le stérilet et son fil étaient en cause, mais les professionnel m’ont tellement assuré que c’était impossible, que j’y ai cru. Et finalement, en lisant ce blog, je me dis que j’avais raison ! C’est tellement logique. Et depuis que je l’ai enlevé, ça va mieux…Comme quoi il faut parfois s’écouter. En amont de la reprise des rapports, pour me rassurer, je me suis entrainée avec des godemichets de tailles différentes…Et oui, car avec le stress, on se contracte ! Il a fallu réapprendre la pénétration, la réapprivoiser…et surtout, “refaire le passage” petit à petit pour éviter les frottements. C’est comme ça que j’ai réussi à me rassurer…Avec mon chéri, nous faisons bien attention : douche avant les rapports,ongles irréprochables, préservatifs, douche après les rapports pour moi, prise avant et après de cys-control au D-mannose (d’ailleurs je n’en peux plus de ce gout de cranberry qui me suit depuis des années)… Mais l’angoisse est toujours là.

    J’ai regardé les produits Deakos et je vais me laisser tenter. Si vous avez des produits à me conseiller en particulier, je suis preneuse! Je pense déjà à la crème vagniale “magique”, et au d-mannose sublingual…Ou peut-être faire carrément le gros traitement d’une semaine en prévention, de temps en temps? Bref, ça cogite…

    En tous cas, merci pour ce site, et pour votre investissement ! Vous rendez un fier service aux cystiteuses désespéréeshttps://cystiteetcompagnie.fr/wp-content/plugins/wp-monalisa/icons/wpml_rose.gif !

    Reply
    • Coco
      27 avril 2021

      Bonjour Marie, le grand merci est à adresser à vous pour avoir eu la gentillesse et confiance de partager ici votre témoignage et ce parcours difficile mais très encouragent pour toutes les personnes souffrant de cystites post-coïtales !

      Vous avez eu la persévérance et intelligence de transformez vos faiblesses en force et de poursuivre votre défi personnel au travers une recherche constante de différentes solutions alternatives même en rencontrant plusieurs obstacles
      https://cystiteetcompagnie.fr/index.php/2021/02/26/cystite-recidivantes-stress-et-errance-medicale/

      Le fait d’avoir entrepris une analyse et une investigation scrupuleuse sur les facteurs prédisposants et précipitants qui sont à l’origine de vos cystites est une démarche idéale pour affronter ce type de problématique, bravo !
      https://cystiteetcompagnie.fr/index.php/2019/05/22/le-temoignage-de-justine-devenir-acteur-de-sa-sante/
      Le fait d’avoir enlevé le DIU au cuivre et avoir remarqué une amélioration se lie parfaitement au subtile lien qu’il y a entre la survenu des cystites et les méthodes contraceptive, qui existe quoi qu’en disent les médecins* : https://cystiteetcompagnie.fr/index.php/2021/04/16/cystite-et-contraceptions/
      *A ce propos, les théories quant à la présence de brides hyménales ou d’un méat urinaire « défectueux » laissent toujours très perplexes et sont, la plupart du temps, infondées.

      /!\ ABERATION – MYTHE – LIEU COMMUN
      La dimension du pénis du partenaire n’a absolument aucun rapport avec la survenue de cystites, même post-coïtales. En effet, il est bon de rappeler que le canal vaginal est conçu pour être capable de se dilater au point de laisser passer un nouveau-né 😉
      Les frottements excessifs résultant des rapports, et favorisant la survenue de cystites, sont donc liés d’avantage à des paramètres tels que :
      – Manque de lubrification naturelle
      – Préliminaires trop brefs
      – Positions face à face (type missionnaire)
      – Co-infection du partenaire
      – Hygiène intime trop agressive ou insuffisante
      – Flore périnéale altérée
      Je vous invite donc à ne pas prêter oreille à des commentaires sur la « virilité » de votre partenaire.

      Quand la cystite est chronique la prise en charge s’articule autour de différentes pistes de prévention comme vous avez pu le lire dans cet article ; en particulier :
      1. L’éventuelle présence d’un biofilm et son élimination
      https://cystiteetcompagnie.fr/index.php/2018/03/30/biofilm-scenario-de-guerre/

      2. L’utilisation d’une crème lubrifiante contenant du D-Mannose avant été après chaque rapport comme vous avez effectivement observé dans votre commentaire : https://cystiteetcompagnie.fr/index.php/2018/10/18/une-creme-vaginale-magique-contre-la-cystite/
      3. La prise quotidienne de d-mannose (500mg à 1g par jour) -> pour garantir une présence permanente de d-mannose dans la vessie et ainsi “bloquer” toute bactérie dès son arrivée et empêcher l’augmentation de la charge bactérienne cause d’une nouvelle crise
      4. La prise sublinguale d’une dose de d-mannose après les rapports -> pour garantir la présence de d-mannose dans la vessie dans les 30 minutes suivant le rapport et permettre de “bloquer” immédiatement d’éventuelles bactéries pathogènes
      Attention toutefois dans le choix d’un produit à base de D-Mannose, tous ne se valent pas !
      https://cystiteetcompagnie.fr/index.php/2019/09/06/comment-choisir-un-bon-complement-a-base-de-d-mannose/
      Vous écrivez « D’ailleurs je n’en peux plus de ce gout de cranberry qui me suit depuis des années)… » Attention, la canneberge est un faux-ami dans la plupart des situations : https://cystiteetcompagnie.fr/index.php/2018/03/30/cranberry-faux-ami-de-cystiteuse/

      Ces mesures préventives et de prise en charge peuvent donc se « traduire » de la manière suivant :
      -> Crème vaginale au D-Mannose : Ausilium Crema
      -> D-Mannose orosoluble après le rapport : D-MannOro
      -> Toilette intime adaptée : Ausilium pH4
      -> Lutte contre le biofilm : Ausilium NAC
      -> Prise prophylactique de D-Mannose: Ausilium 20 OU Ausilium Forte [1 à 2 par jour]

      Pour recevoir un schéma posologique personnalisé je vous conseille de contacter Deakos chez : infofrance@deakos.com
      En espérant avoir été utile je reste à disposition,
      Coco

      Reply
    • Léa
      7 août 2021

      Bonjour , j’aimerais vraiment échanger avec vous, je suis dans le même état

      Reply
      • Coco
        10 août 2021

        Bonjour Léa et vraiment merci pour votre confiance, si vous souhaitez recevoir un conseil personnalisé vous pouvez écrire un mail à infofrance@deakos.com en décrivant de manière détaillé votre problématiques ( facteurs précipitants et prédisposant ) :
        ne vous découragez pas, car une tentative infructueuse qu’on laisse derrière soi, constitue un autre pas en avant !

        Espérant avoir été utile, je reste à disposition,
        Coco

        Reply
  • Chantal
    7 février 2021

    Bonjour,

    Je suis également sujette aux cystites post coïtales, depuis mon premier rapport sexuel jusqu’à mon tout dernier… Chaque rapport est source de cystite, il ne s’agit même plus d’une probabilité. C’est systématique. Pour faire court, je suis aujourd’hui résistante à la plus grande partie des antibiotiques et les seuls qui font encore effet sont administrés dans les hôpitaux seulement, c’est vous dire mon cas. Il y a un an de cela j’ai d’ailleurs été hospitalisée pendant une semaine dans le service infectiologie pour cela. Le D-mannose a été super pour moi, il m’a permis un peu de répit, sauf que voila, le D-mannose me fracasse les reins, en une prise les douleurs reviennent (douleurs très intenses) et après analyse de la fonction rénale, je peux vous dire que cela est même dangereux pour moi. Après 6 mois de prise, mes reins ne le tolèrent plus et je ne sais pourquoi… J’ai beau chercher sur le net, je ne vois que d’éloges sur le D-Mannose (ce que je comprends, puisque j’en ai moi même bénéficié un temps), je me demandait donc si quelqu’un avait déjà eu cette expérience avec le D-Mannose ? Quelles alternatives autre alternatives s’offrent à moi ? Merci d’avance

    Reply
    • GiGi
      19 février 2021

      Bonjour Chantal

      Le D-mannose te cause des problèmes au niveau rénal ? Impossible !!!
      Je te réponds comme ça, un peu « sec », car je suis hyper méga surprise par ton témoignage ! Et en plus tu parles « mal » du D-Mannose alors je me sens attaquée LOL Lui c’est mon chouchou, c’est la solution à tous mes problèmes, c’est le meilleur ami de ma vessie, ma recette pour la vie éternelle (heu bon j’exagère) !!!
      D’ailleurs je l’ai invité à te répondre personnellement 😉

      « Coucou ! Je me présente : je suis Mannose… D-Mannose 😀 Ma caractéristique principale est celle d’être une substance produite naturellement par l’organisme, je suis donc endogène ! Et oui… merveilleusement endogène, tellement que si tu me consommes par voie orale (exogène donc), je serait identique comme deux gouttes d’eau au D-Mannose endogène et le corps ne fera aucune différence.
      Alors comment pourrais-je « fracasser » l’organisme ou plutôt certains organes alors qu’ils sont « habitués » à ma présence ? Impossible, c’est même tout à fait le contraire : la supplémentation en D-mannose permet d’atteindre des effets bénéfiques pour l’organisme et en particulier contre les infections urinaires (ce n’est pas un cas que la plupart des produits soient à base de D-mannose). »

      Merci D-Mannose, je reprends la parole 😉 et je surenchéris :
      Le D-Mannose présent dans les compléments alimentaires est un sucre naturel (habituellement extrait du bouleau) non assimilable par l’organisme qui a pour principale fonction d’inhiber l’adhésion des germes uropathogènes sur la paroi vésicale. Ces « bebêtes » sont des bactéries fimbriae ; c’est à dire qu’elles possèdent des adhésines: petits filaments terminés en harpon qui sont capables de se planter dans la muqueuse vésicale pour s’y fixer. Une fois implantées solidement dans la paroi vésicale les bactéries peuvent se multiplier causant une irritation de plus en plus forte sur les parois de la vessie et de l’urètre. Cette inflammation est à l’origine des symptômes douloureux de la cystite. Le D-Mannose apporté par voie externe va se lier avec les adhésines des bactéries pathogènes pour les détacher de la muqueuse vésicale. Le complexe bactérie/D-Mannose ainsi formé sera ensuite éliminé naturellement avec le flux urinaire.

      Récemment des études on mit en évidence la protéine Uromoduline comme protéine présente dans les urines des sujets sains qui permet de neutraliser les adhésines des principaux germes uropathogènes grâce à une substance présente à sa surface. Laquelle ? eh ben, le D-Mannose pardi (toujours lui) !

      Alors donc, il est absolument impossible que le D-Mannose puisse faire mal à tes reins :
      1° parce que c’est une substance physiologique
      2° parce que sa forme ne varie pas qu’il s’agisse de production interne ou supplémentation externe

      Attention par contre : le choix du type de produit à base de D-Mannose est fondamental !!
      D’ailleurs cet article en parle très bien 😉
      Et oui, tous les produits ne se vallent pas et il est indispensable de prendre en compte :
      – l’origine du D-Mannose => qui doit toujours provenir du bouleau

      – les autres ingrédients présents dans le produits => et là il y aurait une véritable encyclopédie à écrire !!
      Souvent le problème n’est pas le D-Mannose mais d’autres substances ou principes actifs qui pourraient se trouve dans la formule choisie comme par exemple :
      – La sauge : source de phyto-œstrogènes (déconseillés en cas de cystite)
      – Le cranberry : https://cystiteetcompagnie.fr/index.php/2018/03/30/cranberry-faux-ami-de-cystiteuse/
      – Et beaucoup d’autres

      Du coup, je te conseille d’arrêter avec le produit (pas top sans doute) que tu avais choisi et de changer ton fusil d’épaule en optant pour un complément alimentaire 100% D-Mannose issu du bouleau.
      Tu t’apercevras alors que tes reins vont très bien (j’en suis certaine) et tu pourras ensuite essayer des produits plus ciblés pour toi (à définir selon ta problématiques et les causes de tes cystites).

      Voilà ma belle, j’ai défendu bec et ongles mon protégé 😉
      Je te souhaite beaucoup de succès avec un autre produit et te dis à bientôt.
      Bizzz

      PS. QUEL PRODUIT UTILISAIS-TU ???

      GiGi https://cystiteetcompagnie.fr/wp-content/plugins/wp-monalisa/icons/wpml_heart.gif

      Reply
  • Élise
    9 janvier 2021

    Bonjour Myriam,
    Votre témoignage me donne de l’espoir. Cela fait plusieurs années que je fais des cystites à répétition et depuis plusieurs mois en post-coïtal notamment à raison de 2 fois par mois. Vous témoignez du fait que vous n’avez plus ce problème depuis 3 ans, suite à la découverte de ces produits. Je compte faire une cure de 3 mois pour commencer. Mais je voudrais savoir: continuez-vous toujours à prendre ces produits ou bien vos troubles ont-ils totalement cessé, sans que vous n’ayiez besoin d’y recourir périodiquement? Merci pour vos témoignages et vos conseils

    Reply
    • Myriam Gaia
      11 janvier 2021

      Bonjour Élise.

      Je continue le d mannose en préventif, surtout après chaque rapport…. La prudence est mère de sûreté… Et je fais régulièrement des cures de probiotiques 2 à 3 fois par an…. J évite si je le peux la prise d antibiotiques…. Je suis certaine que vous trouverez une solution. Le mieux est de contacter Deakos pour faire un bilan vraiment personnalisé… Ils sont vraiment au top et conseillent au mieux pour améliorer votre état… Courage ! Je suis de tout cœur avec vous

      Reply
    • Coco
      12 janvier 2021

      Bonjour Elise et merci Myriam pour votre réponse très claire qui permet de garder espoir.

      Elise vous souffrez de cystites post-coïtales récidivantes qui sont toujours une problématique multifactorielle.

      Il faut en effet considérer que l’infection urinaire suite à un rapport sexuel peut advenir selon plusieurs schémas :
      1/ Les bactéries pathogènes responsables de cystites sont dotées de flagelles qui leur donnent une certaine mobilité autonome. Cette particularité permet aux bactéries pathogènes présentes dans le milieu vaginal d’atteindre le méat urinaire, donnant lieu à une cystite dite “par remontée”.
      2/ Les bactéries pathogènes ont également une dimension suffisamment petite pour leur permettre de “migrer” directement du vagin à la vessie en traversant les muqueuses. Ce phénomène est aussi amplifié en présence de sécheresse vaginale ou de dysbiose de la flore de Döderlein (flore physiologique vaginale) suite à une prise antibiotique.
      3/ Les bactéries pathogènes peuvent également “migrer” directement des intestins vers la vessie en raison d’une réduction de la distance anatomique séparant ces deux organes.
      Dans tous les cas les rapports sexuels constituent un facteur mécanique favorisant la remontée des bactéries du vagin vers l’urètre et la migration bactérienne de la muqueuse vaginale à l’urothélium ou de la muqueuse intestinale à l’urothélium.
      Pour lutter contre cela, il est donc recommandé aux femmes sujettes aux cystites post-coïtales d’utiliser une crème vaginale avant chaque rapport sexuel pour lubrifier et hydrater la muqueuse, réduire les frottements et augmenter la vitesse de guérison de la muqueuse vaginale.
      Il est important que cette crème contienne du D-Mannose, substance naturellement présente dans notre corps, capable d’intervenir au niveau des bactéries pathogènes et d’empêcher leur adhésion sur la paroi du vagin. Ainsi, les bactéries pathogènes ne pourront remonter jusqu’à la vessie.
      Cet article vous en dira plus -> https://cystiteetcompagnie.fr/index.php/2018/10/18/une-creme-vaginale-magique-contre-la-cystite/

      L’hygiène intime est aussi un élément fondamental pour lutter contre les cystites post-coïtales. En ce sens, une miction (même en l’absence d’envie) dans la demi-heure suivant chaque rapport est indispensable pour chasser les bactéries qui tenteraient de remonter dans l’urètre vers la vessie.
      https://cystiteetcompagnie.fr/index.php/2018/08/08/la-toilette-intime/

      La prise prophylactique de D-Mannose après un rapport sexuel peut jouer un rôle déterminant dans la lutte contre la cystite post-coïtale car, si malgré les mesures précédentes, des bactéries parviennent à atteindre la vessie “par remonté”, une prise rapide de D-Mannose va empêcher leur adhésion et favoriser leur élimination avec la miction suivante.
      Dans la mesure où, les bactéries en cause en cas de cystite se reproduisent extrêmement vite (une heure correspond à plusieurs générations) et avec une croissance exponentielle (à chaque génération la charge bactérienne double), D-Mannoro offre une réponse rapide adaptée à la lutte contre les cystites post-coïtales qui devrait etre prolongé les 3 jours suivants le rapport. De cette manière, vous vous assurez une présence préventive permanente de D-Mannose dans la vessie permettant d’intercepter tous germes rejoignant la vessie au cours de cette période.
      A nouveau, je vous renvoie vers une autre lecture -> https://cystiteetcompagnie.fr/index.php/2018/03/30/d-mannose-amour/

      Il est fondamental de souligner qu’en cas de cystites post-coïtales les rapports sont les facteur précipitant qui fait basuculer une situation latente vers un épisode aigu. Afin de prévenir et empêcher au mieux ce type de cystite, il est donc indispensable de travailler en prévention aussi et surtout sur les facteurs prédisposants = les facteurs de risque qui rendent le “terrain” favorable aux cystites:
      – transit et alimentation
      – hormones et contraception
      – équilibre vulvo-vaginal
      – consommation antibiotiques et autres médicaments
      C’est donc seulement à la condition d’une prise en charge globale de TOUS les facteurs de risque qu’il sera possible d’établir un schéma posologique personnalisé constitué d’une phase d’attaque puis d’une phase de maintien et prévention comme nous témoigne Myriam .
      Vu donc les éléments de votre message et votre intérêt vers le produit Deakos je vous conseille de contacter infofrance@deakos.com pour recevoir une intervention personnalisée,
      J’espère d’avoir été utile,
      Corinne

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  • Flo
    29 novembre 2019

    Bonjour à toutes,

    Voilà 1 an pour moi d’infections urinaires à répétition…
    C’est peu par rapport à certaines d’entre vous mais quand je vous lis je me sens quand même moins seule ^^
    Je suis actuellement une cure d’antibiotiques pour soigner une récidive mais j’aimerais vraiment en finir!!
    Pour éviter les récidive, j’ai acheté des comprimé à base de D-Manose et Cranberries entre autres + cure de probiotiques pour 1 mois complet (effectivement c’est pas donné… presque 50€ pour les 2 cures au total).
    J’ai acheté également un lubrifiant pour les rapports et je compte faire une toilette de la zone après chaque rapport (en plus du pipi que je faisais systématiquement).
    Que pourriez vous me conseiller ?

    Merci d’avance pour vos réponses

    Reply
    • Virna
      4 décembre 2019

      Bonjour Flo. Il vaut mieux éviter le cranberry qui va acidifier les urines et dès lors augmenter les douleurs de la vessie. Il est préférable de choisir du D mannose sous format poudre, la mieux assimilable.
      La toilette avant et après rapport ainsi que le lubrifiant + uriner directement après sont des bonnes mesures de prévention mais bien souvent insuffisantes. Les probiotiques sont une très bonne idée.
      Nous conseillons, en plus des mesures d’hygiène déjà citées, de prendre du D mannose directement après le rapport (dans les 30 min). Veiller à bien uriner 1 h après la prise de D mannose (toujours à jeun). Compléter les 3 jours suivant le rapport par des prises de D mannose de 1 à 6 mesurettes selon les symptômes ressentis. On peut compléter avec des HE en cas de douleurs. Parallèlement à ces mesures ponctuelles, il pourrait être intéressant d’associer un traitement de fonds si les cystites sont récidivantes et/ou anciennes. Dans ce cas, la prise de NAC est indiquée (un 1er traitement de 15 jours, à raison d’1 flacon le matin et 1 le soir + 1 prise de D mannose en milieu de journée). Traiter les intestins et la flore vaginale si besoin.

      Reply
      • Flo
        7 janvier 2020

        Merci pour votre réponse

        Reply
    • Madile54
      4 décembre 2019

      Bonjour, moi je vous conseillerai de prendre du d-mannose en poudre issu du mélèze ou bouleau le plus efficace, juste après le rapport et plusieurs jours de suite 1 g à chaque prise.En cas de crise jusqu’à 6 g par jour, espacer les prises toutes les 2 à 3 heures en dehors des repas ( 1 h avant et 2 h après) .
      Il y a également une crème efficace, anti-inflammatoire , adoucissante, au d-mannose , à utiliser pendant le rapport et après la toilette intime post rapport. C’est la crème Ausilium créma de Deakos.
      Vous trouverez le d-mannose de qualité chez Deakos ( Ausilium 20 + , Ausilium forte , d-mannoro , mais également sur Amazon . Supplements – Le D-Mannose pur en poudre – 200g https://www.amazon.fr/dp/B01JZ4GF96/ref=cm_sw_r_cp_api_i_Ks-5DbCDDVVVW

      Reply
      • Flo
        7 janvier 2020

        Merci pour votre réponse

        Reply
  • Virna
    25 octobre 2019

    Les urologues ne connaissent bien souvent que l’antibiothérapie comme traitement, quoique certains commencent quand même à être ouverts à d’autres alternatives. Le traitement par NAC pourrait se prolonger en fonction de l’ancienneté des cystites et selon les symptômes ressentis. Dans ce cas, on peut conseiller 1 prise de NAC au plus long cours, soit 1 boîte par mois à prolonger tant que les symptômes persistent. Ausilium 20 et Ausilium Forte sont à peu près similaires. Au long cours on conseille 2 prises par jour de l’un ou de l’autre (mais Ausilium Forte est plus économique sur le long cours). Personnellement je prends le NAC 1 flacon pendant les 14 premiers jours du mois + Ausilium forte 1 mesurette, et ensuite les 14 autres jours du mois c’est 1 mesurette Ausilium Forte le matin et 1 mesurette le soir

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    • Tania
      20 novembre 2019

      Bonjour je me permets de vous écrire pour savoir le nom exact et ou est-ce qu evous trouvez tous ces compléments et produits ???

      Reply
  • Myriam
    25 octobre 2019

    J ai eu des cystites post coitales ( entre autre) pendant plus de 20 ans sans qu aucun médecin ne trouve de solution mis à part me dire que ” j étais sujette à ça ”… J ai fait des recherches multiples et suis tombée sur le groupe de cystites et compagnie… Pour que Mary me guide et que j arrive à trouver que mes intestins étaient hs et qu ils ne faisaient plus leur fonction de barrière… Je me suis soignée en conséquences ( probiotiques et gestion d une dysbiose) et depuis 3 ans, plus de cystites… D-manorro, ausilium nac et ausilium crème m ont aidé à retrouver une vie intime et personnelle ! Il ne faut pas baisser les bras et surtout, axer sur les compléments alimentaires naturels…

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  • SCHLOUPPE
    20 octobre 2019

    Bonjour,

    Je souffre de cystites post coïtales depuis 4 ans! rien que ça.. j’ai compris à vous lire que certaines en souffre depuis bien plus longtemps.. j’ai cherché tant de solutions à tant d’endroits que je commençais vraiment a désespérer de pouvoir retrouver une vie normale. A 34 ans, ma vie affective en était considérablement impactée.. j’avais le sentiment d’être un peu “cassée” et vraisemblablement le monde médical s’en contre fou des problèmes gynécos des femmes. J’avais intériorisé une sorte de gène, comme un sentiment d’avoir une maladie honteuse, peut être liée à des soucis psy?? dont je n’arrivais pas à me sortir. Je voulais simplement témoigner ici du soulagement quand j’ai découvert votre site! merci! merci cystite et compagnie! merci pour les produits deakos qui sont entrain de me soigner! je retrouve de l’air, je peux vivre plus sereinement! J’ai été voir une urologue la semaine dernière et lui ai parlé de votre site et des produits déakos.. elle n’avait que l’antibiothèrapie en tête, 2 prises par semaines.. c’est le traitement classique.. quand je lui ai demandé surprise pourquoi elle ne proposait pas des produits comme deakos en alternative? pourquoi ne pas laisser ce choix aux personnes? elle m’a répondu que c’était couteux.. et que ce qui marchait pour moi, ne fonctionnait pas forcement pour les autres.. foutaise! ça fonctionne bien pour vous! et pour toutes les femmes dont j’ai lu le témoignage.. mais alors pourquoi??
    Je voulais demander à Marie comment poursuivre mon traitement? je prends ausilium NAC 2xpar jour depuis 15 jours+ausilium 20 plus une fois par jours+ausilium forte 1cuillère par jour+ la crème et le d-mannoro après le rapport.
    Merci encore à vous ! A nous la vie! Alexandra

    Reply
    • Madile54
      26 octobre 2019

      Bonjour,
      En attendant que Mary vous réponde, je vous conseille de continuer avec 1 NAC par jour et Ausilium forte 1 dose par jour et Ausilium créma avant et après chaque rapport avec D-mannoro. Si vous ressentez des symptômes de brûlures ou inconfort, douleurs, gêne côté urinaire dans les jours suivants le rapport vous pouvez augmenter la dose Ausilium en prenant un sachet Ausilium 20+ et 2 doses Ausilium forte. En cas de récidive avérée d’infection urinaire, une nouvelle cure de NAC de 15 jours avec 2 flacons serait préférable en augmentant également Ausilium forte et Ausilium 20+ pour avoir 4 voir 5 prises de d-mannose par jour en plus des 2 flacons de NAC.
      Bonne continuation.

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